Titre : Blue Blood 3
Auteur : karya
mail : karya_jap@msn.com
Pairing : Iori and Kaede c'est décidé^^
Rating : rooooooooo le zoli lemon qu'on va trouver dans ce chapitre *fière*
Commentaire : bon est bien je vous avoue que c'est le dernier chapitre de cette fic c'est dommage je commençais tout juste à m’y faire :p Non je rigole c'est la fin je suis malheureuse que ça finisse, je m’étais habitué à mon petit Iori.
Auteur : karya
mail : karya_jap@msn.com
Pairing : Iori and Kaede c'est décidé^^
Rating : rooooooooo le zoli lemon qu'on va trouver dans ce chapitre *fière*
Commentaire : bon est bien je vous avoue que c'est le dernier chapitre de cette fic c'est dommage je commençais tout juste à m’y faire :p Non je rigole c'est la fin je suis malheureuse que ça finisse, je m’étais habitué à mon petit Iori.
Blue Blood
Chapitre 3
Chapitre 3
Depuis
le retour de Kyoto, la semaine c'était vite enchaîné. La plupart des
soir le groupe était en concert, les filles faisaient sorti sur sorti,
profitant des vacance de Kimi et Iori quand à lui préparé lentement son
départ. Il n’en avait pas encore parlé à son amie, elle était si
heureuse d’être avec sa compagne qu'il ne voulait pas briser ce moment
et puis elle était si fière d’être au japon. C'était sa première fois
et peut être que si tout se passait bien ça serai sa dernière... Elle
avait la possibilité de rester, c'était à elle de prendre la bonne
décision à présent. Le blond n’avait rien dit non plus à Kaede. Il
hésitait beaucoup, ils venaient de se trouver et devaient déjà se
perdre. Il ne savait pas comment le bassiste allait prendre cette
nouvelle, après tous il l’avait surpris si souvent, mais quand même là,
c'était un départ sans avis de retour. Quitter le Japon était une
chose, il avait même apprit à oublier cette part de lui qui resterait
toujours dans ce pays, mais Quitter le brun en était une autre.
Un soir de la semaine, au restaurant, il s’avoua vaincu face à Kari, elle avait toujours le chic pour lui faire dire ce dont il n’avait pas envie. Mais il se devait de lui dire la vérité, comme il le devait à son compagnon. Elle parlait de tout comme à son habitude, passant d’un sujet à l’autre avec désinvolture, quand elle s’arrêta soudain pour le fixer. Kari savait que quelque part quelque chose n’allait pas, elle le sentait dans toutes les fibres de son corps et Iori n’avait jamais réussi à lui cacher ses secrets.
- Tu sais, il faut qu'on parle tous les deux. Sérieusement.
- Laisse-moi le dire à ta place. Tu t’es enfin décidé ?
- Oui c'est vrai. Ma faculté m’a proposé de rester au Japon pour ma thèse et j’aimerai beaucoup la faire sur les Geisha. Mes professeurs étaient enchanté dans leurs mails et ma thèse a été accepté par le jury. J'ai donc décidé de m’installer avec Kimi. On en a un peu discuté toutes les deux et même si son appartement est petit, on a décidé d’y vivre ensemble.
- Justement j’avais besoin d’un bon gardien pour la maison.
- Comment ? Cria-t-elle surprise avant de se reprendre sous les regard outré des clients.
- Ne fait pas l’innocente, tu as très bien compris. Je dois repartir au plus vite, pour m’occuper des papiers coté français. Pas que l’idée m’enchante mais mon père devient insistant. Alors la maison devient libre, je me suis dit que pour un tout nouveau couple se serait l’idéal... Tu ne penses pas ?
- C'est un fait. Et tu sais très bien que j’accepte avec joie et reconnaissance... Mais... As-tu parlé de ton départ à Kaede ?
- Non, je vais le faire bientôt. De toute façon, il le faut non ?
- Absolument. Vous avez l’air d’être proche tous les deux. Je sais que c'est indiscret et que ce n’est pas mon genre de poser ce genre de question... Mais vous en êtes où, tous les deux ?
- On s'est beaucoup rapproché, c'est vrai. On s'est même embrassé, enfin plutôt je l’ai embrassé et nous avons passé la nuit ensemble, de façon très platonique. Je me sens bien avec lui et il m’a avoué que c'était réciproque, j’en suis tellement heureux... Mais en même temps ça me fait si mal... Devoir le quitter si vite...
- Je suis tellement contente que tu te sois enfin attaché à quelqu’un.
- Quelqu’un de bien.
- Oui et de stable... Mais ce n’est pas un adieu définitif.
- Qui sait, avec mon père.
- Tu devrais lui en parler, il a accepté toutes tes différences et il te sait libre. Je suis sure qu'il ne veut que ton bonheur.
- Je l’espère Kari... Tu ne sais pas à quel point je l’espère.
Un soir de la semaine, au restaurant, il s’avoua vaincu face à Kari, elle avait toujours le chic pour lui faire dire ce dont il n’avait pas envie. Mais il se devait de lui dire la vérité, comme il le devait à son compagnon. Elle parlait de tout comme à son habitude, passant d’un sujet à l’autre avec désinvolture, quand elle s’arrêta soudain pour le fixer. Kari savait que quelque part quelque chose n’allait pas, elle le sentait dans toutes les fibres de son corps et Iori n’avait jamais réussi à lui cacher ses secrets.
- Tu sais, il faut qu'on parle tous les deux. Sérieusement.
- Laisse-moi le dire à ta place. Tu t’es enfin décidé ?
- Oui c'est vrai. Ma faculté m’a proposé de rester au Japon pour ma thèse et j’aimerai beaucoup la faire sur les Geisha. Mes professeurs étaient enchanté dans leurs mails et ma thèse a été accepté par le jury. J'ai donc décidé de m’installer avec Kimi. On en a un peu discuté toutes les deux et même si son appartement est petit, on a décidé d’y vivre ensemble.
- Justement j’avais besoin d’un bon gardien pour la maison.
- Comment ? Cria-t-elle surprise avant de se reprendre sous les regard outré des clients.
- Ne fait pas l’innocente, tu as très bien compris. Je dois repartir au plus vite, pour m’occuper des papiers coté français. Pas que l’idée m’enchante mais mon père devient insistant. Alors la maison devient libre, je me suis dit que pour un tout nouveau couple se serait l’idéal... Tu ne penses pas ?
- C'est un fait. Et tu sais très bien que j’accepte avec joie et reconnaissance... Mais... As-tu parlé de ton départ à Kaede ?
- Non, je vais le faire bientôt. De toute façon, il le faut non ?
- Absolument. Vous avez l’air d’être proche tous les deux. Je sais que c'est indiscret et que ce n’est pas mon genre de poser ce genre de question... Mais vous en êtes où, tous les deux ?
- On s'est beaucoup rapproché, c'est vrai. On s'est même embrassé, enfin plutôt je l’ai embrassé et nous avons passé la nuit ensemble, de façon très platonique. Je me sens bien avec lui et il m’a avoué que c'était réciproque, j’en suis tellement heureux... Mais en même temps ça me fait si mal... Devoir le quitter si vite...
- Je suis tellement contente que tu te sois enfin attaché à quelqu’un.
- Quelqu’un de bien.
- Oui et de stable... Mais ce n’est pas un adieu définitif.
- Qui sait, avec mon père.
- Tu devrais lui en parler, il a accepté toutes tes différences et il te sait libre. Je suis sure qu'il ne veut que ton bonheur.
- Je l’espère Kari... Tu ne sais pas à quel point je l’espère.
En
pleine répétition, fu-ki éternua et s’enfui en courant sur un « pause
», Kiwamu le regarda partir avant d’éclater de rire, il savait tous ce
que cela signifié. La vessie du chanteur le perdrait. S’arrêtant
soudain, il fixa un Kaede rêveur, il avait l’air perdu dans des pensées
graves, un brin fataliste comme à son habitude. C'était le genre du
bassiste de ne plus voir le monde autour de lui, quand il pensait. Le
guitariste s’avança lentement vers lui et passa sa main devant son
visage. Aucune réaction. Il retenta l’expérience deux ou trois fois
sans grand résultat, quand son ami posa sa basse un peu trop durement
au sol. Ca ce n'était pas son genre du tout, il était si attentionné
envers son instrument, c'était signe que quelque chose n’allait pas.
Kaede le regarda alors et lança quelque paroles en baragouinant
totalement, avant de dire très clairement une phrase, en tout et pour
tous, très surprenante.
- Iori et moi nous nous sommes embrassé.
- Mais c'est magnifique ça. J’aurais tout donné pour être là... Mais le bassiste était déjà reparti dans ses pensées, plus moyen de communiquer.
Kaede le sentait. Iori lui cachait quelque chose. Peut être que finalement il regrettait déjà ses paroles et ses gestes. Peut être que ce qu'il avait toujours cru était vrai, il avait une petite amie en France et lui n’était qu'un passe temps de plus. Après tout comment ne pas savoir exactement les pensées d’un gaijin ? Il était peut être même fiancé. Avec la famille qu'il avait ça ne serait pas étonnant, son père lui avait même sûrement trouvé un bon parti pour faire perduré la lignée de comte. Un mariage sans amour... C'était grotesque. Le blond ne serait jamais d’accord pour ça. Il était trop indépendant, trop libre. Inconsciemment il avait peur, mais son cœur lui disait de lui faire confiance, Iori était un homme bien et il n’aurait jamais dit toutes ses choses, juste pour s’amuser. Non ça il ne pouvait pas le croire... Surtout pas après la lueur de jalousie qu'il avait perçu dans son regard quand il lui avait parlé de Makoto. Il avait confiance en lui. Tôt ou tard il lui avouerait ce qui ne va pas en ce moment. Le bassiste en était persuadé.
- Iori et moi nous nous sommes embrassé.
- Mais c'est magnifique ça. J’aurais tout donné pour être là... Mais le bassiste était déjà reparti dans ses pensées, plus moyen de communiquer.
Kaede le sentait. Iori lui cachait quelque chose. Peut être que finalement il regrettait déjà ses paroles et ses gestes. Peut être que ce qu'il avait toujours cru était vrai, il avait une petite amie en France et lui n’était qu'un passe temps de plus. Après tout comment ne pas savoir exactement les pensées d’un gaijin ? Il était peut être même fiancé. Avec la famille qu'il avait ça ne serait pas étonnant, son père lui avait même sûrement trouvé un bon parti pour faire perduré la lignée de comte. Un mariage sans amour... C'était grotesque. Le blond ne serait jamais d’accord pour ça. Il était trop indépendant, trop libre. Inconsciemment il avait peur, mais son cœur lui disait de lui faire confiance, Iori était un homme bien et il n’aurait jamais dit toutes ses choses, juste pour s’amuser. Non ça il ne pouvait pas le croire... Surtout pas après la lueur de jalousie qu'il avait perçu dans son regard quand il lui avait parlé de Makoto. Il avait confiance en lui. Tôt ou tard il lui avouerait ce qui ne va pas en ce moment. Le bassiste en était persuadé.
**********
Une
sonnerie, puis deux et il raccrocha. Il était sur le toit pour une
petite pause cigarette, pendant ce temps Kiwamu s’amusait à énerver
fu-ki à propos de sa vessie comme à son habitude. C'était aussi sur ce
toit qu'il avait vraiment parler avec Kari, quand la jeune femme
l’avait rassuré. Mais à présent c'était la voix de Iori qu'il voulait
entendre, mais ce dernier était peut être en rendez-vous et il ne
voulait pas le déranger pour rien. Même s’il avait le besoin impérieux
d’entendre cette voix grave, si douce et patiente. Il se décida enfin à
appelé pour au pire laisser un message sur son répondeur, c'était déjà
ça et il voulait tellement le voir. Il laissa sonner encore et encore,
le répondeur semblait ne pas vouloir s’enclencher, à croire que le
blond n’avait pas de répondeur. Pourtant toutes les fois où il avait
entendu son téléphone sonner, Iori avait toujours répondu au quart de
tour...
- Moshi moshi... Désolé Kaede je n'ai pas entendu mon téléphone.
- Ce n'est rien. Ça va ?
- Oui je suis dans un café je ne capte pas très bien, j’y ai accompagné Kari et Kimi. Tu voulais quelque chose ?
- Je me demandais si on pouvait se voir. Kiwamu nous à gentiment laissé la pause déjeuné.
- Sans problème, je suis tout près, je viens te chercher. On peut aller boire un verre et manger après... Si ça te va, bien entendu.
- Parfait, je t’attends. Dit-il en raccrochant, il n’aimait pas trop les téléphones.
Dix minute plus tard, ils étaient attablé dans un petit salon de thé, où Iori avait fait sensation en rentrant, on n'avait pas souvent l’habitude de voir un européen parlé japonais aussi bien et sans accent. Ils buvaient leur boisson respective lentement, se regardant droit dans les yeux avant de détourner le regard rapidement. Iori se mit à réfléchir très vite, il devait aller prendre son billet un peu plus tard dans l’après midi et il devait surtout parler de son départ avec le bassiste. Cela faisait deux jours qu'ils ne s’étaient pas vu et semblaient aussi timide l’un que l’autre. Ils parlèrent de la pluie et du beau temps, des répétitions du musicien, des bonnes affaires familiales du blond. Puis Kaede s’arrêta net. Il devint silencieux, suivant les lignes parfaites du visage de son ami, s’attardant sur ses lèvres. Celles qu'il avait goûté avec bonheur quelques jours plus tôt, il se souvenait encore de leur saveur, de leur tendresses, Iori savait vraiment très bien embrasser.
- J'ai envie de t’embrasser. Murmura-t-il alors plus pour lui-même que pour son ami.
- Kaede, il faut qu'on parle. Répondit alors son compagnon très sérieux.
- Oui, de quoi ? Le ton était nerveux, le doute revenu... Il avait quelqu’un d’autre, il en était persuadé.
- Je vais commencé par le début si tu veux bien. Voyant l’anxiété dans son regard, il parla lentement et méthodiquement. « Quand mon père m’a appelé dans le train, c'était pour me félicité pour l’entreprise. Ma ténacité a été payante et j'ai obtenu le contrat avec succès. »
- C'est merveilleux. Félicitation.
- Arigatô. Mais de ce fait, il y a beaucoup de papiers français à rédiger. Le contrat est signé, mais il y a des dossiers administratifs à classer.
- Et tu dois le faire, c'est ça ?
- Oui, je n’ai pas pour habitude de bâcler les affaires de mon père. Il a confiance en moi et même si ce n’est pas forcement ce que j’aime faire dans ma vie, je le fais complètement.
- Je le sais. C'est ce qui m’a attiré chez toi au premier regard. Ton sens de la loyauté. Mais je ne comprends pas pourquoi tu es si sérieux.
- Je dois retourner en France Kaede.
- Quand ? Demanda-t-il sous le choc.
- Le plus tôt possible, mon père me presse.
- Et Kari ? Elle est au courant ? Demanda son sens pratique.
- Elle va vivre avec Kimi à la maison. Elle a l’aval de sa faculté pour sa thèse. Je te préviendrais quand j’aurai mon billet...
- Tu vas partir. Répéta alors le bassiste, comme s’il essayait de se convaincre que ce n’était pas vrai.
- Je ne sais pas quand je pourrai revenir...
- Je dois allé en répétition... Je suis en retard.. Désolé... Je...
Il ne pu en dire plus, trop perturbé par la nouvelle. Il se leva précipitamment et s’enfuit littéralement du salon de thé. Le blond le vu prendre le chemin inverse que celui pour se rendre à la salle de répétition et se leva pour le rattraper. Mais Kaede devait se remettre seul, il le savait. Il se rassit brutalement et enfoui son visage dans ses mains, sous les yeux de la serveuse qui n’avait pas raté d’un morceau la conversation. Elle posa un grog sur la table et Iori releva la tête. « Je vous l’offre, vous en avez besoin. ». Il la remercia d’un signe de tête et retourna à ses pensées. Apparemment le bassiste était aussi attaché que lui-même. Il ne voulait pas le quitter, mais ses obligations ne lui permettait pas à rester. Finalement il se leva, paya et laissa plus que le prix d’un grog comme pourboire à la serveuse et s’en alla.
- Moshi moshi... Désolé Kaede je n'ai pas entendu mon téléphone.
- Ce n'est rien. Ça va ?
- Oui je suis dans un café je ne capte pas très bien, j’y ai accompagné Kari et Kimi. Tu voulais quelque chose ?
- Je me demandais si on pouvait se voir. Kiwamu nous à gentiment laissé la pause déjeuné.
- Sans problème, je suis tout près, je viens te chercher. On peut aller boire un verre et manger après... Si ça te va, bien entendu.
- Parfait, je t’attends. Dit-il en raccrochant, il n’aimait pas trop les téléphones.
Dix minute plus tard, ils étaient attablé dans un petit salon de thé, où Iori avait fait sensation en rentrant, on n'avait pas souvent l’habitude de voir un européen parlé japonais aussi bien et sans accent. Ils buvaient leur boisson respective lentement, se regardant droit dans les yeux avant de détourner le regard rapidement. Iori se mit à réfléchir très vite, il devait aller prendre son billet un peu plus tard dans l’après midi et il devait surtout parler de son départ avec le bassiste. Cela faisait deux jours qu'ils ne s’étaient pas vu et semblaient aussi timide l’un que l’autre. Ils parlèrent de la pluie et du beau temps, des répétitions du musicien, des bonnes affaires familiales du blond. Puis Kaede s’arrêta net. Il devint silencieux, suivant les lignes parfaites du visage de son ami, s’attardant sur ses lèvres. Celles qu'il avait goûté avec bonheur quelques jours plus tôt, il se souvenait encore de leur saveur, de leur tendresses, Iori savait vraiment très bien embrasser.
- J'ai envie de t’embrasser. Murmura-t-il alors plus pour lui-même que pour son ami.
- Kaede, il faut qu'on parle. Répondit alors son compagnon très sérieux.
- Oui, de quoi ? Le ton était nerveux, le doute revenu... Il avait quelqu’un d’autre, il en était persuadé.
- Je vais commencé par le début si tu veux bien. Voyant l’anxiété dans son regard, il parla lentement et méthodiquement. « Quand mon père m’a appelé dans le train, c'était pour me félicité pour l’entreprise. Ma ténacité a été payante et j'ai obtenu le contrat avec succès. »
- C'est merveilleux. Félicitation.
- Arigatô. Mais de ce fait, il y a beaucoup de papiers français à rédiger. Le contrat est signé, mais il y a des dossiers administratifs à classer.
- Et tu dois le faire, c'est ça ?
- Oui, je n’ai pas pour habitude de bâcler les affaires de mon père. Il a confiance en moi et même si ce n’est pas forcement ce que j’aime faire dans ma vie, je le fais complètement.
- Je le sais. C'est ce qui m’a attiré chez toi au premier regard. Ton sens de la loyauté. Mais je ne comprends pas pourquoi tu es si sérieux.
- Je dois retourner en France Kaede.
- Quand ? Demanda-t-il sous le choc.
- Le plus tôt possible, mon père me presse.
- Et Kari ? Elle est au courant ? Demanda son sens pratique.
- Elle va vivre avec Kimi à la maison. Elle a l’aval de sa faculté pour sa thèse. Je te préviendrais quand j’aurai mon billet...
- Tu vas partir. Répéta alors le bassiste, comme s’il essayait de se convaincre que ce n’était pas vrai.
- Je ne sais pas quand je pourrai revenir...
- Je dois allé en répétition... Je suis en retard.. Désolé... Je...
Il ne pu en dire plus, trop perturbé par la nouvelle. Il se leva précipitamment et s’enfuit littéralement du salon de thé. Le blond le vu prendre le chemin inverse que celui pour se rendre à la salle de répétition et se leva pour le rattraper. Mais Kaede devait se remettre seul, il le savait. Il se rassit brutalement et enfoui son visage dans ses mains, sous les yeux de la serveuse qui n’avait pas raté d’un morceau la conversation. Elle posa un grog sur la table et Iori releva la tête. « Je vous l’offre, vous en avez besoin. ». Il la remercia d’un signe de tête et retourna à ses pensées. Apparemment le bassiste était aussi attaché que lui-même. Il ne voulait pas le quitter, mais ses obligations ne lui permettait pas à rester. Finalement il se leva, paya et laissa plus que le prix d’un grog comme pourboire à la serveuse et s’en alla.
Pendant
la deuxième répétition du jour, Kiwamu était sur les nerfs, il
malmenait ses deux acolytes et Kaede ne s’en rendait même pas compte.
Et quand le téléphone de bassiste sonna, le guitariste piqua une crise.
Kaede le regarda sans un mot et pris son portable, pour y découvrir un
message. Il hésita un long moment avant de l’ouvrir et ferma les yeux.
Ils savaient ce que contenait ce message. Sous la mine dépité de son
ami, Kiwamu se calma instantanément et lui demanda ce qui n’allait pas.
Le bassiste lui passa son cellulaire pour seul réponse et le guitariste
aux mèches rouges lu au-dessus de son épaule. « Départ de l’aéroport de Tokyo. Lundi à 9h du matin.
» Calculant péniblement sur ses doigts les jour qu'il restait, il
comprit l’horreur de la situation. On était mercredi, il restait donc
plus que cinq jours et en plus ils avaient un concert le lundi à Kyoto,
alors impossible pour Kaede de l’accompagner à l’aéroport. Le
guitariste fit alors une chose censé et le prit dans ses bras sans un
mot, tout ça sous le regard ahuri de fu-ki.
- Mais qu’est-ce qui se passe ? Et pourquoi prends-tu toujours Kaede dans tes bras ? Ça commence devenir douteux tout ça.
Kiwamu fit la première chose qui lui passa par la tête, il lâcha un instant le bassiste, prit le chanteur contre lui et l’embrassa profondément. « Tais-toi ! ». Tout penaud fu-ki ne dit plus rien et retourna s’asseoir en face des partitions. Concentré. C'était tellement bête d’avoir fait cette petite crise de jalousie. Kiwamu et Kaede se connaissaient depuis longtemps et il savait que le bassiste était avec Iori. Et à présent, il savait que Kiwamu était sérieux quand il lui disait s’intéresser à lui. Le chanteur sourit doucement. Il avait enfin la preuve qu'il pouvait construire quelque chose de sérieux avec le guitariste. Chaque chose en son temps, doucement mais sûrement, il sentait qu'ils avaient toute leur vie devant eux et en un sens ça le rassurait.
Le chanteur regarda le bassiste prendre son téléphone et entamer l’écriture d’un message, sûrement destiné à Iori. Il apprit plus tard de la bouche du guitariste que Kaede avait donné au blond un rendez-vous chez lui, le dimanche. Leur seul jour de libre avant d’entamer une petite tournée qui devait débuter à Kyoto. Il espérait pour le bassiste que tout ce passerait bien étant donné qu'il avait aussi apprit le départ de l’Européen pour une durée indéterminé.
- Mais qu’est-ce qui se passe ? Et pourquoi prends-tu toujours Kaede dans tes bras ? Ça commence devenir douteux tout ça.
Kiwamu fit la première chose qui lui passa par la tête, il lâcha un instant le bassiste, prit le chanteur contre lui et l’embrassa profondément. « Tais-toi ! ». Tout penaud fu-ki ne dit plus rien et retourna s’asseoir en face des partitions. Concentré. C'était tellement bête d’avoir fait cette petite crise de jalousie. Kiwamu et Kaede se connaissaient depuis longtemps et il savait que le bassiste était avec Iori. Et à présent, il savait que Kiwamu était sérieux quand il lui disait s’intéresser à lui. Le chanteur sourit doucement. Il avait enfin la preuve qu'il pouvait construire quelque chose de sérieux avec le guitariste. Chaque chose en son temps, doucement mais sûrement, il sentait qu'ils avaient toute leur vie devant eux et en un sens ça le rassurait.
Le chanteur regarda le bassiste prendre son téléphone et entamer l’écriture d’un message, sûrement destiné à Iori. Il apprit plus tard de la bouche du guitariste que Kaede avait donné au blond un rendez-vous chez lui, le dimanche. Leur seul jour de libre avant d’entamer une petite tournée qui devait débuter à Kyoto. Il espérait pour le bassiste que tout ce passerait bien étant donné qu'il avait aussi apprit le départ de l’Européen pour une durée indéterminé.
**********
Les
quelques jours qu'il avait patienté pour son dernier rendez-vous avec
Kaede avait les plus longs de sa vie. Son compagnon était pris entre
répétition et répétition et lui se retrouvait en retard à présent pour
leur rendez-vous. Il avait pris un taxi pensant arriver plus vite ainsi
et finalement il était prit dans les embouteillages de Tokyo, ce qui
était assez impressionnant, et après on s’étonnait qu'il reste zen
pendant les embouteillages à Paris, il n’y avait vraiment pas photo
entre les deux. Il prit alors la décision de payer et de faire le reste
à pied, après tout il irait plus vite en courant. Il arriva chez le
brun en sueur et pourtant il n’avait pas pris son trench coat, mais le
fait d’avoir couru lui avait fait dépensé beaucoup d’énergie. Il entra
dans l’immeuble tenant la porte à un couple de personnes âgées et monta
quatre à quatre les escaliers avant de sonner à la porte. Il entendit
un son de basse qui s’arrêta puis les pas du bassiste en question qui
s’approchait doucement de l’entrée. La porte s’ouvrit sur un Kaede
morne qui le laissa entrer sans un mot.
- Gomen je suis en retard, ma sœur était au téléphone et elle ne voulait pas raccrocher. Et après j'ai eu la bonne idée de prendre un taxi, oubliant l’heure de pointe.
- Tu es trempé de sueur.
- Je suis venu en courant, sinon j'étais bon pour une heure de retard. Tu aurais du voir la tête des gens dans la rue, un européen qui cour dans Tokyo c'est assez décadent.
- Tu peux prendre une douche, si tu en as envie. Je dois bien avoir un yakuta à ta taille quelque part, sûrement un à Kiwamu, tête en l’air comme il est, il en a certainement oublié un.
- Je te remercie. Je ne suis pas très présentable...
Le blond se dirigea vers la porte indiquée et le bassiste le regarda un petit instant avant de se rendre compte que ce dernier avait laissé la porte entrouverte. Il s’approcha doucement oubliant le yukata qu'il devait rechercher et s’arrêta net. Iori, de dos et nu, c'était une image emplie de sensualité. Il avait un corps musclé signe qu'il avait pratiqué pendant un long moment un sport, sûrement de combat, sa peau était des plus laiteuse presque translucide, digne du teint d’une vraie geisha, c'était un plaisir de le voir comme ça. Il laissa son regard glisser le long de ce corps, imaginant le même geste de ses mains, et se senti réagir à cette pensée enchanteresse. Sa raison et sa pulsion subite d’entrée dans la pièce pour assouvir ses pensées, se battirent un moment, comme un vrai duel empli de coup bas. Finalement la tentation était trop grande et sa main poussa la porte, sans un bruit. Le blond n’avait rien vu, il était assit à savourer ce petit moment de détente, mais quand une main le toucha, il se retourna sans surprise.
Kaede en profita pour se baisser et l’embrasser tendrement, son compagnon se laissa faire et il s’agenouilla au sol, pour être à sa hauteur. Laissant ses lèvres descendre le long de sa joue, puis sur son cou, descendant à coup de petits baisés bien placés. Il atteignit très vite un téton avec lequel il joua un long moment, pendant que le blond avait passé une de ses mains dans ses cheveux pour le garder contre lui, laissant son autre main se faufiler dans le pantalon du bassiste, qu'il déboutonna, le sentant un peu trop encombrant à son goût. Ils étaient aussi trempé l’un que l’autre et personne ne pensa à fermer l’arrivée d’eau, ils n’avaient plus conscience de rien à par eux-mêmes. Le brun gémi sous le léger va et vient imprimé par cette main si masculine, et pourtant si agréable. Il se rendit compte que le blond reprenait l’initiative et ça il ne le souhaitait pas, il voulait lui montrer ce qu'il allait quitter, ce qu'il s'était résolu à voir disparaître. Il le voulait lui, souhaitait toutes les fibres de ce merveilleux corps... Totalement à lui.
N’y tenant plus, il le poussa contre le rebord de la baignoire, le maintenant à sa merci, le blond était si désirable avec cette expression surprise... Il le retourna face contre la paroi, embrassant ce dos à la musculature fine, ses mains caressant ses hanches, puis ses jambes repliées, obtenant de petit gémissement de pur plaisir, puis sans autre préparation quelle quel soit, il le pénétra d’un coup, le voyant se cambrer sous ses assauts répétés. Le blond avait les doigts crispés sur le rebord de la baignoire, respirant presque avec peine, mais bougeant tout de même les hanches pour obtenir toujours plus. Kaede en profita pour imposer le même rythme à même le désir de son amant de sa main, et les deux hommes poussèrent ensemble un cri de jouissance soudain. Le brun retombant sur le corps de son ami, tous les deux en sueur, restant ainsi un long moment, entrelaçant leurs doigts, avant de se retirer du blond et de s’asseoir à ses cotés, leur respiration de plus en plus calme. Le bassiste se leva alors, remplissant la baignoire et ils se retrouvèrent bien vite tous les deux à l’intérieur, le brun assis entre les jambes du blond, son dos pressé contre son torse.
- Je dois t’avouer que pour notre première fois, j’avais imaginé un autre endroit qu’une salle de bain. Dit alors Iori ironique, après un long moment de silence.
- Il ne fallait pas laisser la porte ouverte alors. Répondit son amant.
- Je n’ai pas dit que c'était déplaisant... Peut être un peu rapide...
- On peut remédier à ça.
- Prêt pour un deuxième round ?
- Avec toi... Toujours.
- Gomen je suis en retard, ma sœur était au téléphone et elle ne voulait pas raccrocher. Et après j'ai eu la bonne idée de prendre un taxi, oubliant l’heure de pointe.
- Tu es trempé de sueur.
- Je suis venu en courant, sinon j'étais bon pour une heure de retard. Tu aurais du voir la tête des gens dans la rue, un européen qui cour dans Tokyo c'est assez décadent.
- Tu peux prendre une douche, si tu en as envie. Je dois bien avoir un yakuta à ta taille quelque part, sûrement un à Kiwamu, tête en l’air comme il est, il en a certainement oublié un.
- Je te remercie. Je ne suis pas très présentable...
Le blond se dirigea vers la porte indiquée et le bassiste le regarda un petit instant avant de se rendre compte que ce dernier avait laissé la porte entrouverte. Il s’approcha doucement oubliant le yukata qu'il devait rechercher et s’arrêta net. Iori, de dos et nu, c'était une image emplie de sensualité. Il avait un corps musclé signe qu'il avait pratiqué pendant un long moment un sport, sûrement de combat, sa peau était des plus laiteuse presque translucide, digne du teint d’une vraie geisha, c'était un plaisir de le voir comme ça. Il laissa son regard glisser le long de ce corps, imaginant le même geste de ses mains, et se senti réagir à cette pensée enchanteresse. Sa raison et sa pulsion subite d’entrée dans la pièce pour assouvir ses pensées, se battirent un moment, comme un vrai duel empli de coup bas. Finalement la tentation était trop grande et sa main poussa la porte, sans un bruit. Le blond n’avait rien vu, il était assit à savourer ce petit moment de détente, mais quand une main le toucha, il se retourna sans surprise.
Kaede en profita pour se baisser et l’embrasser tendrement, son compagnon se laissa faire et il s’agenouilla au sol, pour être à sa hauteur. Laissant ses lèvres descendre le long de sa joue, puis sur son cou, descendant à coup de petits baisés bien placés. Il atteignit très vite un téton avec lequel il joua un long moment, pendant que le blond avait passé une de ses mains dans ses cheveux pour le garder contre lui, laissant son autre main se faufiler dans le pantalon du bassiste, qu'il déboutonna, le sentant un peu trop encombrant à son goût. Ils étaient aussi trempé l’un que l’autre et personne ne pensa à fermer l’arrivée d’eau, ils n’avaient plus conscience de rien à par eux-mêmes. Le brun gémi sous le léger va et vient imprimé par cette main si masculine, et pourtant si agréable. Il se rendit compte que le blond reprenait l’initiative et ça il ne le souhaitait pas, il voulait lui montrer ce qu'il allait quitter, ce qu'il s'était résolu à voir disparaître. Il le voulait lui, souhaitait toutes les fibres de ce merveilleux corps... Totalement à lui.
N’y tenant plus, il le poussa contre le rebord de la baignoire, le maintenant à sa merci, le blond était si désirable avec cette expression surprise... Il le retourna face contre la paroi, embrassant ce dos à la musculature fine, ses mains caressant ses hanches, puis ses jambes repliées, obtenant de petit gémissement de pur plaisir, puis sans autre préparation quelle quel soit, il le pénétra d’un coup, le voyant se cambrer sous ses assauts répétés. Le blond avait les doigts crispés sur le rebord de la baignoire, respirant presque avec peine, mais bougeant tout de même les hanches pour obtenir toujours plus. Kaede en profita pour imposer le même rythme à même le désir de son amant de sa main, et les deux hommes poussèrent ensemble un cri de jouissance soudain. Le brun retombant sur le corps de son ami, tous les deux en sueur, restant ainsi un long moment, entrelaçant leurs doigts, avant de se retirer du blond et de s’asseoir à ses cotés, leur respiration de plus en plus calme. Le bassiste se leva alors, remplissant la baignoire et ils se retrouvèrent bien vite tous les deux à l’intérieur, le brun assis entre les jambes du blond, son dos pressé contre son torse.
- Je dois t’avouer que pour notre première fois, j’avais imaginé un autre endroit qu’une salle de bain. Dit alors Iori ironique, après un long moment de silence.
- Il ne fallait pas laisser la porte ouverte alors. Répondit son amant.
- Je n’ai pas dit que c'était déplaisant... Peut être un peu rapide...
- On peut remédier à ça.
- Prêt pour un deuxième round ?
- Avec toi... Toujours.
**********
La
lumière du matin réveilla Kaede lentement. Il regarda le réveil,
c'était l’aube, dans quelques heures il aura une dernière répétition
avec le groupe, puis le départ pour le concert du lendemain, il
penserait à autre chose ainsi. Il ferma les yeux et respira doucement
leurs deux odeurs mêlées. Il savait pertinemment qu'il était seul dans
ce lit, Iori était parti, sans doute pendant la nuit, mais surtout sans
le réveiller. Le bassiste ne devait pas espérer, c'était sans doute la
première et la dernière nuit qu'il passait tous les deux et elle avait
été magique. Le blond était un merveilleux amant. Il tourna la tête
vers l’oreiller où aurait du se trouver l’Européen et y aperçu une
lettre. Se redressant en position assise, il prit lentement le papier
et le déplia, conscient que c'était l’unique lettre de Iori. Il voulait
la savourer, ne pas en perdre une miette, la relire encore et toujours
jusqu’à l’apprendre par cœur. L’écriture du jeune homme était belle et
élancée, digne d’un sang noble, ce sang que l’on appelle en France « le
sang bleu ». Il écrivait aussi bien qu'il parlait, dans un style très
aristocratique avec un japonais littéraire impeccable, du moins dans la
première partie de la lettre...
« Kaede...
Je n’ai jamais aimé dire au revoir et cela me semble si injuste de
devoir te quitter. Tu dois me trouver lâche d’être parti pendant la
nuit, mais ce n’est pas une fuite.
Tu es mon plus beau souvenir et tu resteras le meilleur. Tu ne me croiras peut être pas, mais je te promets de revenir. Ce n’est pas un adieu, ça, je ne le pourrais pas.
Et même si je reviens... Même si tu as quelqu’un d’autre... J’espère que tu n’oublieras pas... Qu'un jour.. Un européen aux yeux bleu a appris l’amour entre tes bras.
Pour toujours. Iori »
Tu es mon plus beau souvenir et tu resteras le meilleur. Tu ne me croiras peut être pas, mais je te promets de revenir. Ce n’est pas un adieu, ça, je ne le pourrais pas.
Et même si je reviens... Même si tu as quelqu’un d’autre... J’espère que tu n’oublieras pas... Qu'un jour.. Un européen aux yeux bleu a appris l’amour entre tes bras.
Pour toujours. Iori »
Kaede
posa la lettre, tremblant. Une larme solitaire roula sur sa joue, mais
c'était plus une larme de joie, il lui avait dit qu'il l’aimait. Il
savait que ces mots ne sortiraient jamais de sa bouche, mais la
dernière phrase était une ode à l’amour. Leur amour à tous les deux. Et
même si lui non plus ne pourra jamais lui dire, il espérait que le
blond avait compris ses pensées.
« Aishiteru »
**********
Trois
mois avaient passé. Les Blood avaient parcouru le japon, pour plusieurs
concert et ils faisaient enfin le dernier de la tournée, le principal,
celui de Tokyo. Kimi avait repris le travail, réconfortant Kari tant
sur sa thèse que sur le départ de son meilleur ami, elles avaient
décidé d’aller à ce dernier concert, pour leurs apothéoses à tous les
trois. Tout se déroula bien, fu-ki faisait son show, Kiwamu était passé
en mode grand singe hystérique et même Kaede semblait enthousiaste. Sur
scène il ne montrait pas sa détresse que tous ces amis avaient perçu.
Il lança son dernier médiator dans la foule, entrapercevant même une
personne le ramassant, et sourit au publique dans son élégante robe
rouge et noire dans le style 17ème siècle, il était resplendissant et
les jeunes femmes s’en sentaient rassuré, car la dernière fois que Kari
l’avait eu au téléphone, il n’avait pas eut l’air très bien. D’ailleurs
il parti très vite à la fin du concert, laissant ses amis en compagnie
des filles, il avait l’air épuisé de faire semblant et voulait rester
un peu seul pour rentrer ce coucher par la suite.
Quand la sonnerie de la porte retenti, il maudit Kiwamu d’essayer de le réconforter et de ne pas avoir eu la gentillesse de l’avoir laissé seul. Le départ de Iori avait formé un grand vide dans son cœur. Mais quel ne fut pas sa surprise, en ouvrant la porte, de voir une tête blonde et des yeux acier le regardant effrontément, des bagages au sol.
- Je crois que tu as perdu ceci. Dit l’homme en lui tendant un médiator à son nom. « Les autres m’ont dit que tu étais rentré chez toi... Alors je me suis dit que j’allais passer. »
- Tu étais là ?
- Je t’avais dit que je reviendrais... Il pu à peine finir sa phrase que le bassiste était dans ses bras, le serrant de toutes ses forces. « J'ai demandé à mon père la gestion de la nouvelle entreprise, il m’a donné son feu vert. En fait, depuis le début elle m’était destiné, il veut donner une nouvelle image à notre nom et pense que De Francilie ça sonnerait bien dans le monde du stylisme... Il m’a avoué qu'il voulait que je sois heureux dans le monde que j’aime et avec la personne que j'ai choisi... »
- Ca veut dire que...
- Je vais devoir m’installer dans le coin un long... très long moment... Si tu veux toujours de moi...
Le prenant par la main, il le fit entrer et referma la porte derrière eux.
- Viens.
Quand la sonnerie de la porte retenti, il maudit Kiwamu d’essayer de le réconforter et de ne pas avoir eu la gentillesse de l’avoir laissé seul. Le départ de Iori avait formé un grand vide dans son cœur. Mais quel ne fut pas sa surprise, en ouvrant la porte, de voir une tête blonde et des yeux acier le regardant effrontément, des bagages au sol.
- Je crois que tu as perdu ceci. Dit l’homme en lui tendant un médiator à son nom. « Les autres m’ont dit que tu étais rentré chez toi... Alors je me suis dit que j’allais passer. »
- Tu étais là ?
- Je t’avais dit que je reviendrais... Il pu à peine finir sa phrase que le bassiste était dans ses bras, le serrant de toutes ses forces. « J'ai demandé à mon père la gestion de la nouvelle entreprise, il m’a donné son feu vert. En fait, depuis le début elle m’était destiné, il veut donner une nouvelle image à notre nom et pense que De Francilie ça sonnerait bien dans le monde du stylisme... Il m’a avoué qu'il voulait que je sois heureux dans le monde que j’aime et avec la personne que j'ai choisi... »
- Ca veut dire que...
- Je vais devoir m’installer dans le coin un long... très long moment... Si tu veux toujours de moi...
Le prenant par la main, il le fit entrer et referma la porte derrière eux.
- Viens.
FIN
Voila
c'est fini la fic sur Blood... Elle se sera écrit très très très
rapidement en comparaison avec d’autre fic à moi^^ Mais je voulais la
finir pour terminé une autre fic à moi qui me tiens beaucoup à cœur...
C'est la fin d’une belle époque... Et le début d’autre époque de fic
encore plus belle... YATTAAAAAAAAAA^^
[Chapitre 2]
[Chapitre 2]