Titre : Jours de fête 1
Auteur : karya
Mail : karya_jap@msn.com
Pairing : Un mec à la natte et un glacier
Rating : Yaoi sirupeux, délire total qu’on se demande même ce que l’auteur a pu manger pendant cette journée fatidique. Lemon pour couronner le tout.
Commentaire : ne me demandez rien, mais si vous aimez encouragez moi lol
Auteur : karya
Mail : karya_jap@msn.com
Pairing : Un mec à la natte et un glacier
Rating : Yaoi sirupeux, délire total qu’on se demande même ce que l’auteur a pu manger pendant cette journée fatidique. Lemon pour couronner le tout.
Commentaire : ne me demandez rien, mais si vous aimez encouragez moi lol
Jours de fête
1er jour
1er jour
En ce moment le temps tournait à l’orage, pourtant ils avaient tous l’habitude de l’éternel crise qui ne restait jamais inactif entre les deux adolescents. Mais là on pouvait sentir le vent tourner, ce n’était plus le haqueur expérimenté qui en avait assez, mais le diablotin à la tresse, et il commençait sérieusement à péter un câble le Shinigami. On entendait ses cris de protestations dans à peu près toute la maison et en plus, il traînait des pieds. Duo Maxwell traînait des pieds, on aura tout vu avec lui d’une certaine manière. Finalement il arriva à la porte de la cuisine marmonnant des insultes en anglais et parfois dans un allemand approximatif, on voyait bien qu’Hirde était son amie. Il entra dans la cuisine, ouvrant la porte et la laissant claquer contre le mur et le petit blond présent ferma toutes les digues de son Uchuu no Kokoro pour ne plus sentir la rage de son ami.
- Et puis, je haie cette putain de fête de merde…
Le voyant ressortir, Quatre poussa un soupir de soulagement, même sans empathie on pouvait ressentir la rage du tueur du groupe et il ne voulait pas être la personne qui l’avait mis dans cette état, parce qu’un Dieu de la Mort énervé au basque, bonjour les petits anges, il voulait bien le croire, c’était une doctrine qu’on lui avait toujours enseignée, et qu’il avait toujours suivit. Apercevant alors une mèche et un œil vert pétillant d’humour, il repoussa un soupir, de désespoir cette fois, il suivait Duo dans sa pensée, il n’aimait pas non plus cette fête, qui pour sa religion ne signifiait rien par ailleurs, ni dans aucune religion il devait bien l’admettre. Et puis en plus en guerre, est ce que tout ça avait réellement de l’importance ?
- Duo énervé ? Qu’est ce qui se passe ?
- Je crois qu’il vaudrait mieux le demander à son compagnon de chambré, plutôt qu’à moi, y’a pas écris courrier du cœur sur mon front que je sache ?
Et après cette phrase énervée du petit blond, Trowa le vit disparaître dans le salon pour se poster devant la télé, à coté de Duo, et ne plus bouger de là. Mais que se passait-il ici, les deux personnes du groupe qui ne s’énervaient jamais, du moins pour rien, se mettaient d’un seul coup en colère, sans raison apparente, et un Heero souriant sortait de sa chambre pour aller grignoter un morceau, c’était le monde à l’envers depuis la dernière mission. Le jeune français décida de ne pas se mêler des affaire d’autrui et préféra se défiler plutôt que de s’installer à coté des deux amis sur le canapé. Il savait que son attitude était plutôt une fuite, mais que faire d’autre, il ne se sentait pas la force de les comprendre tout les deux. Pas maintenant qu’il avait compris certaines choses…
- Voilà c’est tout ce qu’il sait faire, prendre la fuite, on dirait vraiment pas que c’est un expert en plan d’attaque…
- Et l’autre là, toujours planqué derrière son ordinateur, il peut pas faire autre chose par moment...
- Vraiment aucune culture… Dirent-ils finalement en même temps.
- Et puis, je haie cette putain de fête de merde…
Le voyant ressortir, Quatre poussa un soupir de soulagement, même sans empathie on pouvait ressentir la rage du tueur du groupe et il ne voulait pas être la personne qui l’avait mis dans cette état, parce qu’un Dieu de la Mort énervé au basque, bonjour les petits anges, il voulait bien le croire, c’était une doctrine qu’on lui avait toujours enseignée, et qu’il avait toujours suivit. Apercevant alors une mèche et un œil vert pétillant d’humour, il repoussa un soupir, de désespoir cette fois, il suivait Duo dans sa pensée, il n’aimait pas non plus cette fête, qui pour sa religion ne signifiait rien par ailleurs, ni dans aucune religion il devait bien l’admettre. Et puis en plus en guerre, est ce que tout ça avait réellement de l’importance ?
- Duo énervé ? Qu’est ce qui se passe ?
- Je crois qu’il vaudrait mieux le demander à son compagnon de chambré, plutôt qu’à moi, y’a pas écris courrier du cœur sur mon front que je sache ?
Et après cette phrase énervée du petit blond, Trowa le vit disparaître dans le salon pour se poster devant la télé, à coté de Duo, et ne plus bouger de là. Mais que se passait-il ici, les deux personnes du groupe qui ne s’énervaient jamais, du moins pour rien, se mettaient d’un seul coup en colère, sans raison apparente, et un Heero souriant sortait de sa chambre pour aller grignoter un morceau, c’était le monde à l’envers depuis la dernière mission. Le jeune français décida de ne pas se mêler des affaire d’autrui et préféra se défiler plutôt que de s’installer à coté des deux amis sur le canapé. Il savait que son attitude était plutôt une fuite, mais que faire d’autre, il ne se sentait pas la force de les comprendre tout les deux. Pas maintenant qu’il avait compris certaines choses…
- Voilà c’est tout ce qu’il sait faire, prendre la fuite, on dirait vraiment pas que c’est un expert en plan d’attaque…
- Et l’autre là, toujours planqué derrière son ordinateur, il peut pas faire autre chose par moment...
- Vraiment aucune culture… Dirent-ils finalement en même temps.
La journée suivante, l’ambiance de la maison n’avait pas trop évoluer, un Duo toujours énervé se promenait dans la pièce du bas comme un lion en cage, et le petit Quatre, lui, s’était renfermé dans un silence entrecoupé de soupir intense. Ils ne discutaient qu’entre eux et laissaient leur compagnon de chambre respectif dans le noir total, même Heero se demandait ce qu’il avait bien pu faire pour rendre le jeune homme à la natte si coléreux. Et ce n’est que quand sa tête arriva à se poser sur un calendrier qu’il réalisa l’horreur de sa faute, et pas seulement pour Duo, qui n’avait d’ailleurs aucune raison valable d’être énervé, mais surtout pour lui. Il se précipita alors vers le premier téléphone venue cherchant désespérément joindre une personne introuvable, et se fit à l’idée, dans à peine quelques heures il serait contraint et forcé de voir la personne disparu, elle ne lâcherait pas l’affaire ainsi. Malheur…
Duo sourit d’un air mauvais, il allait passé une journée mémorable, il en était persuadé, surtout s’il était de la partie. On va bien jouer tout les deux mon grand, j’espère juste que la personne à bien reçu mon mail, parce que je sais aussi me servir d’un ordinateur comme un grand, en dormant tout le temps dans ta chambre, on apprend quelques trucs super intéressant. J’ai hâte, tu peux pas savoir, oui j’ai hâtes que tu t’en mordes les doigts, tu vas voir petit soldat parfait, cette journée là sera parfaite, je te le garantis. Sortant de ses pensées et faisant un petit sourire au petit arabe en passant, il monta se coucher. La journée promettait d’êtres longue et éprouvante, et surtout il risquait de beaucoup s’amuser, il en était persuadé. Son ami ne s’était jamais rendu compte de rien, mais il allait avoir sa vengeance, et elle sera terrible, même s’il regrettait un peu de ne pas être personnellement responsable du malheur d’un certain Heero Yuy.
Quatre quand à lui s’était enfin décidé sur ses actions du jour suivant, il s’était aussi enfin décidé à ne rien dire au français de sa récente découverte, autant garder tout ça pour lui, et voir les progressions de Duo, qui semblait lui, en bonne voie pour sa vengeance personnelle. Lui il était beaucoup trop… Enfin trop attentionné pour se sentir suffisamment méchant au point de vouloir faire du mal à son ami. Mais suffisamment quand même pour partager les crises de fou rire avec Duo quand il lui avait expliqué son plan, décidément une certaine personne allait souffrir du à son manque de communication, c’est la faute à pas de chance s’il est comme ça, mais bon, il avait aussi le droit de faire des efforts quand il pouvait, et là, il aurait vraiment réellement dû…
Duo sourit d’un air mauvais, il allait passé une journée mémorable, il en était persuadé, surtout s’il était de la partie. On va bien jouer tout les deux mon grand, j’espère juste que la personne à bien reçu mon mail, parce que je sais aussi me servir d’un ordinateur comme un grand, en dormant tout le temps dans ta chambre, on apprend quelques trucs super intéressant. J’ai hâte, tu peux pas savoir, oui j’ai hâtes que tu t’en mordes les doigts, tu vas voir petit soldat parfait, cette journée là sera parfaite, je te le garantis. Sortant de ses pensées et faisant un petit sourire au petit arabe en passant, il monta se coucher. La journée promettait d’êtres longue et éprouvante, et surtout il risquait de beaucoup s’amuser, il en était persuadé. Son ami ne s’était jamais rendu compte de rien, mais il allait avoir sa vengeance, et elle sera terrible, même s’il regrettait un peu de ne pas être personnellement responsable du malheur d’un certain Heero Yuy.
Quatre quand à lui s’était enfin décidé sur ses actions du jour suivant, il s’était aussi enfin décidé à ne rien dire au français de sa récente découverte, autant garder tout ça pour lui, et voir les progressions de Duo, qui semblait lui, en bonne voie pour sa vengeance personnelle. Lui il était beaucoup trop… Enfin trop attentionné pour se sentir suffisamment méchant au point de vouloir faire du mal à son ami. Mais suffisamment quand même pour partager les crises de fou rire avec Duo quand il lui avait expliqué son plan, décidément une certaine personne allait souffrir du à son manque de communication, c’est la faute à pas de chance s’il est comme ça, mais bon, il avait aussi le droit de faire des efforts quand il pouvait, et là, il aurait vraiment réellement dû…
Le lendemain matin, Quatre se trouvait aux fourneaux, attendant le réveil de ses amis, qui commença d’abord par un Wufei qui se posa sur la première chaise venue, il n’avait pas l’air d’avoir beaucoup dormi le Chinois, mais bon, pour une fois qu’il faisait une exception, on allait pas cracher dessus non plus. Trowa arriva toujours aussi peu expressif et se posa devant son bol de café sans un regard sur les autres personnes de l’entourage. Duo quand à lui s’était levé du bon pied et arriva en courant dans la cuisine avant de faire un tour de table complet, de prendre trois morceau de pain, de planter un baiser sur la joue du petit arabe, et de ressortir sur un « à ce soir » plein de conviction et d’enthousiasme. Quatre resta un long moment perplexe, la main sur sa joue et un sourire fleuri sur ses lèvres, alors comme ça il était passé à l’attaque le petit démon ? ! Enfin arriva un Heero bien habillé, comme s’il allait voir Relena dans une de ses riches propriété, et qui traînait de pieds. Enfin au complet ou presque, Quatre essaya de lancer un semblant de discussion qui resta presque vint, jusqu'à ce qu’un phrase attira tout les regards.
- Alors qu’est ce qu’on fait aujourd’hui ? Demanda doucement le meneur de conversation.
- Je reste pas à la planque ! Lança un Wufei enfin réveillé.
- Je dois aller voir les professeurs pour un problème de machines. Lança Trowa décidément imperturbable.
- J’ai un rendez-vous. Fini par dire Heero avant de continuer. Où est passé le fou du réveil ?
- Tu veux parler de Duo, il est sorti précipitamment, je crois qu’il avait des courses à faire. Répondit innocemment le plus jeune du groupe.
Voilà, donc il se retrouvait bien seul pour cette satané journée, mais de tout façon est ce que ce n’était pas ce qu’il avait pensée, il pourrait tranquillement préparé ce qu’il voulait, seul dans sa cuisine. Voilà le problème était réglé, et il vit ses amis partirent tous un par un, presque sans un au revoir, s’était pas ce qu’ils préférait non plus. Il ferma la porte derrière le dernier et murmura un « faites attention à vous » en se dirigeant à grand pas vers la cuisine où il sorti tout ce dont il avait besoin. Commençons alors d’abord préparer les plats et ensuite suivre la recette, normal, en espérant qu’il réussirait ce qu’il voulait faire quand même. Il sorti le livre qu’il avait caché le soir d’avant, Le plaisir du chocolat et commença à lire, décidé de réussir sa recette.
- Alors qu’est ce qu’on fait aujourd’hui ? Demanda doucement le meneur de conversation.
- Je reste pas à la planque ! Lança un Wufei enfin réveillé.
- Je dois aller voir les professeurs pour un problème de machines. Lança Trowa décidément imperturbable.
- J’ai un rendez-vous. Fini par dire Heero avant de continuer. Où est passé le fou du réveil ?
- Tu veux parler de Duo, il est sorti précipitamment, je crois qu’il avait des courses à faire. Répondit innocemment le plus jeune du groupe.
Voilà, donc il se retrouvait bien seul pour cette satané journée, mais de tout façon est ce que ce n’était pas ce qu’il avait pensée, il pourrait tranquillement préparé ce qu’il voulait, seul dans sa cuisine. Voilà le problème était réglé, et il vit ses amis partirent tous un par un, presque sans un au revoir, s’était pas ce qu’ils préférait non plus. Il ferma la porte derrière le dernier et murmura un « faites attention à vous » en se dirigeant à grand pas vers la cuisine où il sorti tout ce dont il avait besoin. Commençons alors d’abord préparer les plats et ensuite suivre la recette, normal, en espérant qu’il réussirait ce qu’il voulait faire quand même. Il sorti le livre qu’il avait caché le soir d’avant, Le plaisir du chocolat et commença à lire, décidé de réussir sa recette.
**********
- Joyeuse saint Valentin ! Lança une voix criarde dans son dos.
Heero se retourna précipitamment pour se retrouver bientôt à terre, un poids sur lui, et un gros nœud rouge dans le nez. Repoussant lentement le nœud trop gros pour le pauvre petit paquet, puis un peu plus brusquement le poids sur lui, il se releva et s’épousseta durement, bonjours la saleté sur ses vêtements, surtout qu’il n’aimait pas ses trucs trop long, mais alors là… Une main dans la sienne le fit sursauter, qu’est ce que c’était encore que cette lubie, et puis quoi encore, il est pas un peu fou le bonbon rose, comme l’appelait Duo. Lui faisant lâcher sa main, il fusilla du regard la jeune fille et commença à avancer vers l’endroit où ils avaient décidé d’aller. En voyant le titre du film, il se mit à respirer moins bien.
- C’est quoi ce truc ?
- Bah un film d’amour ! C’est bien la journée pour voir un film comme ça…
Autant en emporte le vent ? C’est quoi cette horreur encore un vieu film qu’il repasse en boucle pour les jeunes filles en manque d’affection, mais dans quel monde était-il tombé encore… Au secours, libérez-moi de ce calvaire, n’importe qui, je cracherais sur personne. C’est Duo qui se marrerait bien en ce moment s’il le voyait, en plus la séance n’était pas tout de suite, il devait encore attendre avec ce pot de glu accroché à la jambe.
Effectivement Duo était mort de rire… Il se trouvait derrière le couple dans le cinéma à distance respectable et les regardait voir le film. A voir les différentes couleur que prenait le visage de Heero, soit il ne comprenait rien au sentiments des personnages, soit Relena lui faisait un rentre dedans monstre. Il optait plutôt pour la seconde hypothèse, malgré le fait que la premiere était aussi sûrement exacte, mais après le mail plein d’amour qu’il avait envoyé à la jeune fille sous le nom de Heero, elle devait plus le lâcher. Et lui, il était mort de rire, à tel point que le pop corn bascula sur un couple devant lui et qu’il faillit se prendre un poing magistral dans la figure, qu’il esquiva bien rapidement, tout en continuant à rigoler. Impossible de s’arrêter, et c’est quand Heero se tourna vers le bruit, enfin débarrassé de Relena, que Duo senti sa dernière heure arriver.
Duo. Ainsi c’était à cause de lui que toute cette lamentable journée se déroulait de cette façon, il avait commencé par le faire lever aux aurores en lui chantant, un vieux tube dépassé depuis un long, un très long moment même, à moitié dans les oreilles, puis par le bruit de la douche et de ses cris émerveillé sur « le temps superrrbe de ce début de mâtiné ». Décidément il allait le tuer pour de bon cette fois, ça, ou autre chose, à lui de choisir, c’était le moment le plus opportun. Tirant plus qu’accompagnant une certaine jeune fille bien civilisée hors du cinéma, prenant au passage le roi des farces en tout genre de son autre main, il stoppa enfin dehors, sous une pluie battante, où le chauffeur de Relena attendait la jeune fille. Ca y est, il avait décidé.
- Pourrais-je savoir ce que tu fais ici Duo ?
- Je me promène… ? !
- Tu ne serais pas en train de te fiche de moi, là, en ce moment même ?
- Noooooooonnnnn, qu’est ce que tu vas chercher là… Commença innocemment un Duo pas repentant pour un sous.
- Relena enlève tes mains de là, et puis qu’est ce qui te fais penser que tu peux les poser ici ?
- Mais dans le mail… Je ne comprends pas, tu ne disais pas ça, et tu voulais être à moi, je reprends tes mots ! S’écria la jeune fille.
- Duo !
- Je plaide coupable.
- Ca ne pouvait être que toi de toute façon. Bon, alors Relena tu peux rentrer chez toi, pas la peine de rester avec moi, tu n’arriveras à rien, et moi je m’occupe de cette petite teigne. Salut !
- Je plaide la folie passagère… S’écria soudain Duo, quand il vu les yeux d’un Heero furieux.
Ne l’écoutant même pas, le dit soldat parfait le souleva comme une plume et le posa sur son épaule comme un sac à patate pas très fraîche, empêchant les jambes du malheureux dit sac à patate de bouger pour éviter qu’il ne frappe une personne au passage. Et ils progressèrent ainsi dans la rue sous la pluie qui les trempaient de plus en plus, jusqu'à leur maison, éteinte de toute lumière, il était déjà tard… Ils passèrent près de la cuisine et Duo avait cessé de faire son insupportable vacarme pour ne pas réveiller le petit blond, surtout, et Heero lança le petit paquet de Relena qu’il n’avait même pas ouvert sur la table de la cuisine, constatant un petit paquet sur la table. Mais tout passa à coté de son esprit et il monta rapidement les marches avant d’ouvrir la porte de leur chambre à tout deux, et de poser brutalement Duo sur son propre lit, pour enfin se diriger vers la salle de bain et en revenir quelques secondes plus tard.
- Alors comme ça tu as voulu me caser avec la cinglée en rose ?
- Non, pas spécialement… Je crois que… Enfin je n’ai pas trop apprécié que tu es rendez vous le 14 février avec ce bonbon en rose.
- Pourquoi ?
- Je… Pour rien…
- Mauvaise réponse Duo…
Alors là Duo ne comprenait plus rien du tout à ce qui se passait, Heero était-il réellement en train de lui retirer brutalement ses vêtements, arrachant le maillot collé à sa peau à cause de la pluie, le laissant bientôt nu sur le lit ? Oui, puisque le froid de la fenêtre ouverte le faisait frissonner, autant que le regard du soldat sur son corps, plus encore même. Un regard de braise, Heero savait-il seulement ce que le mot braise voulait dire dans ses circonstances, il l’espérait du moins, sinon la nuit risqué d’être longue, très longue en ennui… Quoi que peut être pas en fin de compte, pas quand on pouvait rouler une pelle aussi bien, nom de Dieu, ce mec était moins froid qu’il le laissait paraître… Beaucoup moins froid…
Après un dernier regard sur ce corps parfait et en état d’excitation avancé, Heero pris une deuxième décision, la meilleure celle là, déboutonnant d’une main son pantalon devenu trop serré, il retourna violemment le garçon à la natte, de façon à ce qu’il soit allongé sur le ventre, et soulevant les hanches, il inséra deux doigts dans l’entrée inviolé du jeune homme, le faisant frémir de douleur, mais le connaissant il ne dirait jamais qu’il avait mal, pas grave… Ça lui permettait de continuer. Faisant entrer un troisième doigts, essayant de le préparer le plus possible et essayant de se retenir de la pénétrer des à présent, il enduit son propre sexe de la crème qu’il avait trouvé dans la salle de bain, il avait tellement envie de lui que laissant toute pensées disparaître, il pénétra en lui d’un longue poussée, qui fit crier son partenaire de douleur, puis gémir doucement.
Duo n’en pouvait plus, la douleur était toujours présente, mais maintenant il recevait autant de plaisir qu’il en donnait à son partenaire, il suivit même les mouvements des hanches de son amant pour lui facilité la tache, mais surtout pour se procurer encore plus de plaisir, et quand ce dernier effleura sa prostate, il hurla de plaisir et se libéra dans le même instant, c’était si bon… Heero se remit en action, allant et venant toujours en lui, puis ne supportant plus l’étroitesse de l’endroit se libéra dans la corps de son amant, les reins arqué et la tête reversé dans un cri silencieux, Duo était si étroit, il était si bon. Ca ne pouvait pas être vrai, il ne pouvait pas être là en train de se libérer enfin dans le corps de la personne qu’il avait toujours désiré, ou si… Il s’abattit alors doucement sur le corps de son amant avant d’essayer de sorti de lui, quand une main le retint.
- Non, reste encore un peu en moi.
- Duo, je…
- Joyeuse saint Valentin Heero.
Heero s’allongea plus confortablement sur le lit, toujours à l’intérieur de son amant, et le garda longtemps au creux de ses bras, avant d’enfin sortir de lui, et le regarder en face, l’embrassant doucement, il n’avait pas été des plus doux, mais au départ est ce que ça n’avait pas été une vengeance pour une vengeance, il voulait lui faire un aussi mauvais tour que celui que son amant lui avait fait avec Relena, mais si ça devait toujours les amener à faire ça, il était d’accord pour qu’il recommence ses conneries plusieurs fois par semaine, et même par jour s’il le supportait aussi bien. Au final embrassant une dernière fois son amant, il le serra contre lui et ils s’endormirent heureux.
Heero se retourna précipitamment pour se retrouver bientôt à terre, un poids sur lui, et un gros nœud rouge dans le nez. Repoussant lentement le nœud trop gros pour le pauvre petit paquet, puis un peu plus brusquement le poids sur lui, il se releva et s’épousseta durement, bonjours la saleté sur ses vêtements, surtout qu’il n’aimait pas ses trucs trop long, mais alors là… Une main dans la sienne le fit sursauter, qu’est ce que c’était encore que cette lubie, et puis quoi encore, il est pas un peu fou le bonbon rose, comme l’appelait Duo. Lui faisant lâcher sa main, il fusilla du regard la jeune fille et commença à avancer vers l’endroit où ils avaient décidé d’aller. En voyant le titre du film, il se mit à respirer moins bien.
- C’est quoi ce truc ?
- Bah un film d’amour ! C’est bien la journée pour voir un film comme ça…
Autant en emporte le vent ? C’est quoi cette horreur encore un vieu film qu’il repasse en boucle pour les jeunes filles en manque d’affection, mais dans quel monde était-il tombé encore… Au secours, libérez-moi de ce calvaire, n’importe qui, je cracherais sur personne. C’est Duo qui se marrerait bien en ce moment s’il le voyait, en plus la séance n’était pas tout de suite, il devait encore attendre avec ce pot de glu accroché à la jambe.
Effectivement Duo était mort de rire… Il se trouvait derrière le couple dans le cinéma à distance respectable et les regardait voir le film. A voir les différentes couleur que prenait le visage de Heero, soit il ne comprenait rien au sentiments des personnages, soit Relena lui faisait un rentre dedans monstre. Il optait plutôt pour la seconde hypothèse, malgré le fait que la premiere était aussi sûrement exacte, mais après le mail plein d’amour qu’il avait envoyé à la jeune fille sous le nom de Heero, elle devait plus le lâcher. Et lui, il était mort de rire, à tel point que le pop corn bascula sur un couple devant lui et qu’il faillit se prendre un poing magistral dans la figure, qu’il esquiva bien rapidement, tout en continuant à rigoler. Impossible de s’arrêter, et c’est quand Heero se tourna vers le bruit, enfin débarrassé de Relena, que Duo senti sa dernière heure arriver.
Duo. Ainsi c’était à cause de lui que toute cette lamentable journée se déroulait de cette façon, il avait commencé par le faire lever aux aurores en lui chantant, un vieux tube dépassé depuis un long, un très long moment même, à moitié dans les oreilles, puis par le bruit de la douche et de ses cris émerveillé sur « le temps superrrbe de ce début de mâtiné ». Décidément il allait le tuer pour de bon cette fois, ça, ou autre chose, à lui de choisir, c’était le moment le plus opportun. Tirant plus qu’accompagnant une certaine jeune fille bien civilisée hors du cinéma, prenant au passage le roi des farces en tout genre de son autre main, il stoppa enfin dehors, sous une pluie battante, où le chauffeur de Relena attendait la jeune fille. Ca y est, il avait décidé.
- Pourrais-je savoir ce que tu fais ici Duo ?
- Je me promène… ? !
- Tu ne serais pas en train de te fiche de moi, là, en ce moment même ?
- Noooooooonnnnn, qu’est ce que tu vas chercher là… Commença innocemment un Duo pas repentant pour un sous.
- Relena enlève tes mains de là, et puis qu’est ce qui te fais penser que tu peux les poser ici ?
- Mais dans le mail… Je ne comprends pas, tu ne disais pas ça, et tu voulais être à moi, je reprends tes mots ! S’écria la jeune fille.
- Duo !
- Je plaide coupable.
- Ca ne pouvait être que toi de toute façon. Bon, alors Relena tu peux rentrer chez toi, pas la peine de rester avec moi, tu n’arriveras à rien, et moi je m’occupe de cette petite teigne. Salut !
- Je plaide la folie passagère… S’écria soudain Duo, quand il vu les yeux d’un Heero furieux.
Ne l’écoutant même pas, le dit soldat parfait le souleva comme une plume et le posa sur son épaule comme un sac à patate pas très fraîche, empêchant les jambes du malheureux dit sac à patate de bouger pour éviter qu’il ne frappe une personne au passage. Et ils progressèrent ainsi dans la rue sous la pluie qui les trempaient de plus en plus, jusqu'à leur maison, éteinte de toute lumière, il était déjà tard… Ils passèrent près de la cuisine et Duo avait cessé de faire son insupportable vacarme pour ne pas réveiller le petit blond, surtout, et Heero lança le petit paquet de Relena qu’il n’avait même pas ouvert sur la table de la cuisine, constatant un petit paquet sur la table. Mais tout passa à coté de son esprit et il monta rapidement les marches avant d’ouvrir la porte de leur chambre à tout deux, et de poser brutalement Duo sur son propre lit, pour enfin se diriger vers la salle de bain et en revenir quelques secondes plus tard.
- Alors comme ça tu as voulu me caser avec la cinglée en rose ?
- Non, pas spécialement… Je crois que… Enfin je n’ai pas trop apprécié que tu es rendez vous le 14 février avec ce bonbon en rose.
- Pourquoi ?
- Je… Pour rien…
- Mauvaise réponse Duo…
Alors là Duo ne comprenait plus rien du tout à ce qui se passait, Heero était-il réellement en train de lui retirer brutalement ses vêtements, arrachant le maillot collé à sa peau à cause de la pluie, le laissant bientôt nu sur le lit ? Oui, puisque le froid de la fenêtre ouverte le faisait frissonner, autant que le regard du soldat sur son corps, plus encore même. Un regard de braise, Heero savait-il seulement ce que le mot braise voulait dire dans ses circonstances, il l’espérait du moins, sinon la nuit risqué d’être longue, très longue en ennui… Quoi que peut être pas en fin de compte, pas quand on pouvait rouler une pelle aussi bien, nom de Dieu, ce mec était moins froid qu’il le laissait paraître… Beaucoup moins froid…
Après un dernier regard sur ce corps parfait et en état d’excitation avancé, Heero pris une deuxième décision, la meilleure celle là, déboutonnant d’une main son pantalon devenu trop serré, il retourna violemment le garçon à la natte, de façon à ce qu’il soit allongé sur le ventre, et soulevant les hanches, il inséra deux doigts dans l’entrée inviolé du jeune homme, le faisant frémir de douleur, mais le connaissant il ne dirait jamais qu’il avait mal, pas grave… Ça lui permettait de continuer. Faisant entrer un troisième doigts, essayant de le préparer le plus possible et essayant de se retenir de la pénétrer des à présent, il enduit son propre sexe de la crème qu’il avait trouvé dans la salle de bain, il avait tellement envie de lui que laissant toute pensées disparaître, il pénétra en lui d’un longue poussée, qui fit crier son partenaire de douleur, puis gémir doucement.
Duo n’en pouvait plus, la douleur était toujours présente, mais maintenant il recevait autant de plaisir qu’il en donnait à son partenaire, il suivit même les mouvements des hanches de son amant pour lui facilité la tache, mais surtout pour se procurer encore plus de plaisir, et quand ce dernier effleura sa prostate, il hurla de plaisir et se libéra dans le même instant, c’était si bon… Heero se remit en action, allant et venant toujours en lui, puis ne supportant plus l’étroitesse de l’endroit se libéra dans la corps de son amant, les reins arqué et la tête reversé dans un cri silencieux, Duo était si étroit, il était si bon. Ca ne pouvait pas être vrai, il ne pouvait pas être là en train de se libérer enfin dans le corps de la personne qu’il avait toujours désiré, ou si… Il s’abattit alors doucement sur le corps de son amant avant d’essayer de sorti de lui, quand une main le retint.
- Non, reste encore un peu en moi.
- Duo, je…
- Joyeuse saint Valentin Heero.
Heero s’allongea plus confortablement sur le lit, toujours à l’intérieur de son amant, et le garda longtemps au creux de ses bras, avant d’enfin sortir de lui, et le regarder en face, l’embrassant doucement, il n’avait pas été des plus doux, mais au départ est ce que ça n’avait pas été une vengeance pour une vengeance, il voulait lui faire un aussi mauvais tour que celui que son amant lui avait fait avec Relena, mais si ça devait toujours les amener à faire ça, il était d’accord pour qu’il recommence ses conneries plusieurs fois par semaine, et même par jour s’il le supportait aussi bien. Au final embrassant une dernière fois son amant, il le serra contre lui et ils s’endormirent heureux.
Quatre passa près de la porte qui venait de se fermer sur un Heero portant un Duo sur son épaule de façon pas très discrète, et se faufila doucement dans la cuisine, il savait que Trowa n’était pas encore rentré, puisqu’il n’était pas dans la chambre et que la maison était éteinte, encore heureux. Il avait bien réfléchi à la question et avait décidé que ce qu’il avait fait était stupide. Voyant le paquet qui venait sûrement de Relena, avec le nœud dessus ça ne pouvait être qu’une idée de cette bonne vieille amie le bonbon rose, comme se plaisait Duo à l’appeler, il décida donc de la mettre à la poubelle et en profita pour prendre le paquet à coté, sur la table. Le gardant un petit moment dans sa main, il le posa délicatement sur le tas d’ordure, en fait plus sur le paquet de Relena qu’autre chose, et referma la porte qui cachait la poubelle, avant de reparti malheureux dans sa chambre.
Repassant à coté de la chambre des deux amis, il entendit le cri de plaisir de Duo, décidément, ils avaient l’air de bien s’amuser tout les deux. Certaines personnes avaient plus de chance que d’autre… Le petit arabe sourit du bonheur violant mais pur qu’il ressentait dans la chambre du tout nouveau couple et rejoignit son lit à moitié en pleurant, les événement de la soirée encore bien présent dans sa tête, une soirée de saint Valentin seul devant une fenêtre à regarder la pluie, sans personne pour le prendre dans ses bras. Pas la peine de pleurer pour si peu, du moins, si on arrivait à ne pas pleurer, ce qui n’était pas particulièrement son cas en ce moment présent. Il fini par s’endormir comme une masse, toujours aussi seul.
Repassant à coté de la chambre des deux amis, il entendit le cri de plaisir de Duo, décidément, ils avaient l’air de bien s’amuser tout les deux. Certaines personnes avaient plus de chance que d’autre… Le petit arabe sourit du bonheur violant mais pur qu’il ressentait dans la chambre du tout nouveau couple et rejoignit son lit à moitié en pleurant, les événement de la soirée encore bien présent dans sa tête, une soirée de saint Valentin seul devant une fenêtre à regarder la pluie, sans personne pour le prendre dans ses bras. Pas la peine de pleurer pour si peu, du moins, si on arrivait à ne pas pleurer, ce qui n’était pas particulièrement son cas en ce moment présent. Il fini par s’endormir comme une masse, toujours aussi seul.
A suivre …
Bon d’accord, j’ai beaucoup abusé sur les perso de Gundam, mais que voulez vous, on fait avec ce qu’on a, et maltraiter les petites gourdes qui parlent toute seule m’a toujours plu. C’est donc un premier chapitre rempli de OOC, encore désolé, et pour les fan de Wufei, je précise qu’il aura droit aussi à son Jour de fête.
[Chapitre 2]
[Chapitre 2]