Titre : Jours de fête 2
Auteur : karya
Mail : karya_jap@msn.com
Pairing : un jeune innocent et un beau ténébreux
Rating : Yaoi sirupeux, on peux dire que c’est une séquelle de jour de fête 1, alors pas de tuerie s’il vous plais… Lemon en plus, j’espère qu’il sera un peu mieux :)
Commentaire : A l’aide je ne contrôle plus rien... Tasukete ! (trad : au secours lol)
Auteur : karya
Mail : karya_jap@msn.com
Pairing : un jeune innocent et un beau ténébreux
Rating : Yaoi sirupeux, on peux dire que c’est une séquelle de jour de fête 1, alors pas de tuerie s’il vous plais… Lemon en plus, j’espère qu’il sera un peu mieux :)
Commentaire : A l’aide je ne contrôle plus rien... Tasukete ! (trad : au secours lol)
Jours de fête
2éme jour
2éme jour
C’est
quoi ce réveil à la noix, même pas moyen de l’éteindre et plus c’est
quoi tout ça… Oups désolé Heero, c’est pas le réveil ça… Il ne m’en
voudra sûrement pas, pas d’après le gémissement que j’en tire, ou peut
être que je pourrais faire mieux, oui, prends moi à l’essai, pas de
problème. On est quel jour déjà ? Le 15 février, ça y est ça me revient
cette satané fête et fini, et elle se fini en beauté cette fois, encore
heureux que monsieur l’iceberg n’est pas aussi glacé qu’on le crois et…
TA GUEULE REVEIL A LA CON… Arrivant enfin à prendre le réveil dans sa
main, il le projeta contre le mur et plus aucuns bruits ne provient de
sa part, a pu réveil, dommage !
- Ils sont long vous ne trouvez pas ? Encore entrain de se disputer !
- Je pense pas, je pense aussi qu’ils ont bientôt fini, et qu’ils vont arriver…
- Fini, mais fini quoi ? S’étrangla le Chinois au bort de la syncope. Non, je ne veux rien savoir, garde ton empathie pour toi !
Ca ne vient pas que de mon empathie mon pauvre Wufei, tu as du revenir trop tard pour entendre les bruits venant de la chambre hier soir, ça j’en suis sure. Au moins ces deux la c’était bien trouvé, ils étaient aussi différent que le jour et la nuit, ou dans le cas présent du feu et de la glace, mais ils avaient l’air de bien s’amuser. Regardant sur sa gauche, il rougis lentement en regardant le profil de son compagnon de chambre, qui lui aussi était rentré trop tard pour entendre les cri et qui levait donc un sourcil surpris sur les paroles énigmatiques du petit blond. Quatre se remis à soupirer, ça ne faisait que le troisième depuis dix minute, y’avait des progrès quand même.
Heero arriva alors et s’assit de la même façon que d’habitude sur sa chaise en silence, tandis que dix minutes plus tard, Duo faisait son entrée officiel dans la cuisine même si son ami l’avait vu attendre derrière la porte pour ne pas arriver en même temps que son amant. Il embrassa une nouvelle fois son ami avec un « ‘lut Qua-Chan ! » des plus enthousiaste et s’assit à coté de lui en prenant son petit déjeuner en main, ils étaient drôle tout les deux… Ils mangeaient comme cinq à croire qu’ils n’avaient rien mangé depuis une semaine ou bien qu’il avait fait suffisamment d’effort pour avoir autant besoin de calorie que les cinq G-Boys réunis. Se mettant à rire tout seul, il préféra sortir de la cuisine pour ne pas apercevoir en plus le sourire satisfait de Duo.
Quand la porte se referma, Duo leva la tête, mais quel mouche avait piqué le plus jeune, il commençait sérieusement à se le demander quand il réalisa que Heero et lui n’avait pas été des plus discret et quand plus l’Uchuu no kokoro de son ami percevait beaucoup de chose, il préféra donc laisser son petit déjeuné en plan pour aller parler à son meilleur ami, sous le regard de glace du Japonais. Il aurait voulu tirer la langue à son amant, mais préféra s’abstenir pour ne pas avoir de représailles, quoique des représailles… Il secoua la tête et sorti avant de faire une grosse bêtise.
Il retrouva le petit blond dans le salon à regarder par la fenêtre et remarqua qu’il pleurait, il se passait donc quelque chose de pas catholique la dessous, il sortait en rigolant seul et on le retrouvait ensuite à pleurer silencieusement en regardant par la fenêtre, un problème mon ami ? Pourtant en ce moment il avait l’air d’aller bien, mais du groupe c’était quand même Quatre qui cachait le mieux ses sentiments, il s’occupait toujours des autre, mais s’occupait-il aussi de lui même parfois, Duo en doutait sérieusement. Ne sachant que faire, il le prit dans ses bras, passant ses bras autour de ses épaule et plongeant son visage dans ses cheveux, il savait que l’adolescent aimais bien être serré ainsi, ses sœurs le faisaient souvent.
- Ca na va pas ? Tu me dira aussi, tu ne dit jamais quand tu ne vas pas bien.
- Je ne vais pas bien Duo, mais alors pas bien du tout…
- Mon Dieu Quatre, mais tu ne peux pas en parler au lieu de te retrancher dans tes pensées, ce n’est pas sain tu sais.
- Ce qui n’est pas sain surtout c’est cette envie que j’ai de sauter sur Trowa en permanence.
- Ca c’est quelque chose de très sain au contraire, tu n’aurait aucun désir pour notre clown, je ne comprendrait plus pourquoi tu l’aimes.
- Je n’aurais jamais du t’avouer mes sentiments Duo, je ne devrais plus y pensée, à point ses tout, c’est sans espoir, il a Catherine, et moi je… Je ne fais pas le poids.
- Tu ne le sera jamais si tu ne te livre pas à la personne de ton cœur.
Sur ses mots, il préféra le laisser seul pour réfléchir et retourna dans la cuisine ou les trois garçons étaient encore en train de manger tranquillement, Duo aurait bien mis un cou de pieds aux fesses du français pour faire souffrir autant Quatre, sans le savoir, mais ils ne pouvait pas les aider, il avait déjà essayé et ça avait été un échec total, même pas un regard, ni d’un coté ni de l’autre, comme quoi ils devaient être aussi timide l’un que l’autre. Une main sur sa cuisse le réveilla de ses pensées, et il regarda Heero droit dans les yeux, décidément il suffisait d’une fois et on ne pouvait plus l’arrêter le soldat parfait… Tant mieux.
- Je pense pas, je pense aussi qu’ils ont bientôt fini, et qu’ils vont arriver…
- Fini, mais fini quoi ? S’étrangla le Chinois au bort de la syncope. Non, je ne veux rien savoir, garde ton empathie pour toi !
Ca ne vient pas que de mon empathie mon pauvre Wufei, tu as du revenir trop tard pour entendre les bruits venant de la chambre hier soir, ça j’en suis sure. Au moins ces deux la c’était bien trouvé, ils étaient aussi différent que le jour et la nuit, ou dans le cas présent du feu et de la glace, mais ils avaient l’air de bien s’amuser. Regardant sur sa gauche, il rougis lentement en regardant le profil de son compagnon de chambre, qui lui aussi était rentré trop tard pour entendre les cri et qui levait donc un sourcil surpris sur les paroles énigmatiques du petit blond. Quatre se remis à soupirer, ça ne faisait que le troisième depuis dix minute, y’avait des progrès quand même.
Heero arriva alors et s’assit de la même façon que d’habitude sur sa chaise en silence, tandis que dix minutes plus tard, Duo faisait son entrée officiel dans la cuisine même si son ami l’avait vu attendre derrière la porte pour ne pas arriver en même temps que son amant. Il embrassa une nouvelle fois son ami avec un « ‘lut Qua-Chan ! » des plus enthousiaste et s’assit à coté de lui en prenant son petit déjeuner en main, ils étaient drôle tout les deux… Ils mangeaient comme cinq à croire qu’ils n’avaient rien mangé depuis une semaine ou bien qu’il avait fait suffisamment d’effort pour avoir autant besoin de calorie que les cinq G-Boys réunis. Se mettant à rire tout seul, il préféra sortir de la cuisine pour ne pas apercevoir en plus le sourire satisfait de Duo.
Quand la porte se referma, Duo leva la tête, mais quel mouche avait piqué le plus jeune, il commençait sérieusement à se le demander quand il réalisa que Heero et lui n’avait pas été des plus discret et quand plus l’Uchuu no kokoro de son ami percevait beaucoup de chose, il préféra donc laisser son petit déjeuné en plan pour aller parler à son meilleur ami, sous le regard de glace du Japonais. Il aurait voulu tirer la langue à son amant, mais préféra s’abstenir pour ne pas avoir de représailles, quoique des représailles… Il secoua la tête et sorti avant de faire une grosse bêtise.
Il retrouva le petit blond dans le salon à regarder par la fenêtre et remarqua qu’il pleurait, il se passait donc quelque chose de pas catholique la dessous, il sortait en rigolant seul et on le retrouvait ensuite à pleurer silencieusement en regardant par la fenêtre, un problème mon ami ? Pourtant en ce moment il avait l’air d’aller bien, mais du groupe c’était quand même Quatre qui cachait le mieux ses sentiments, il s’occupait toujours des autre, mais s’occupait-il aussi de lui même parfois, Duo en doutait sérieusement. Ne sachant que faire, il le prit dans ses bras, passant ses bras autour de ses épaule et plongeant son visage dans ses cheveux, il savait que l’adolescent aimais bien être serré ainsi, ses sœurs le faisaient souvent.
- Ca na va pas ? Tu me dira aussi, tu ne dit jamais quand tu ne vas pas bien.
- Je ne vais pas bien Duo, mais alors pas bien du tout…
- Mon Dieu Quatre, mais tu ne peux pas en parler au lieu de te retrancher dans tes pensées, ce n’est pas sain tu sais.
- Ce qui n’est pas sain surtout c’est cette envie que j’ai de sauter sur Trowa en permanence.
- Ca c’est quelque chose de très sain au contraire, tu n’aurait aucun désir pour notre clown, je ne comprendrait plus pourquoi tu l’aimes.
- Je n’aurais jamais du t’avouer mes sentiments Duo, je ne devrais plus y pensée, à point ses tout, c’est sans espoir, il a Catherine, et moi je… Je ne fais pas le poids.
- Tu ne le sera jamais si tu ne te livre pas à la personne de ton cœur.
Sur ses mots, il préféra le laisser seul pour réfléchir et retourna dans la cuisine ou les trois garçons étaient encore en train de manger tranquillement, Duo aurait bien mis un cou de pieds aux fesses du français pour faire souffrir autant Quatre, sans le savoir, mais ils ne pouvait pas les aider, il avait déjà essayé et ça avait été un échec total, même pas un regard, ni d’un coté ni de l’autre, comme quoi ils devaient être aussi timide l’un que l’autre. Une main sur sa cuisse le réveilla de ses pensées, et il regarda Heero droit dans les yeux, décidément il suffisait d’une fois et on ne pouvait plus l’arrêter le soldat parfait… Tant mieux.
Plusieurs
semaine passèrent ainsi, Quatre plongeant de plus en plus dans une
déprime permanente, au point que même Duo n’arrivait plus à le faire
rire, et pourtant il avait toujours son sourire doux sur les lèvres,
mais la conviction n’y était plus en tout cas. Mais Duo ne voulait pas
abandonné, s’il ne pouvait pas parler avec Quatre, peut être que Heero
pourrait parler avec Trowa, après tout ils se ressemblaient beaucoup
tout les deux, assez pour que Trowa est envie de se confier s’il le
voulait, c’est comme ça qu’il demanda à Heero d’inviter le français à
sortir, pour lui trouver un cadeau par exemple commença-t-il à dire
avec un grand sourire satisfait.
Son
amant allait le lui payer, ça il se le promettait, il avait quand même
réussi à lui faire promettre de parler avec Trowa de certaines chose de
la vie. Heero ne voulait même pas savoir ce que ça voulait dire dans la
bouche de Duo, « les choses de la vie » encore une phrase pour ne rien
dire, comme d’habitude, mais le fait est qu’ils étaient bien tout les
deux dehors en train de zigzaguer dans les rues de la ville. Ils se
décidèrent enfin d’aller dans un café, ne sachant pas trop de quoi
parler, ils ne parlaient pas d’habitude, mais Heero se força à entamer
une conversation, Duo lui avait quand même dit qu’il irait dormir sur
le canapé s’il ne parlait pas avec Trowa à propos de son meilleur ami,
et il savait que son amant était capable de mettre sa punition en
action.
- Tu voulais me parler Heero ?
- Puisque tu commence, et bien oui, en fait j’ai un certain problème avec un garçon à natte, et si je ne fais rien, je risque de dormir seul pendant longtemps, voir très longtemps.
- Ah !
- Bon, c’est déjà une bonne chose que ça ne te surprenne pas, mais je m’en était douté. En fait je voudrais te parler de toi !
- Explique, tu commence à m’intéresser…
- Eh bien voilà, je ne suis pas si aveugle et sans sentiment qu’on le crois et je me demandais si…
Ils revinrent le soir à la maison, après une longue discussion et se mirent directement à table, ils n’avaient pas que ça à faire tout les deux, et les cinq G-Boys aillèrent très tôt au lit, enfin surtout le couple, Heero ayant eu quelques idées pour se venger de la demande de son amant, ainsi la porte à peine refermé sur leur deux personnes, il attrapa Duo par le natte et le jeta presque sur le lit, le spectacle pouvait commencer, vengeance, vengeance, quand tu nous tien… Non, pas la peine d’avoir de spectateur, merci pour vos encouragement mais au revoir, on peu se débrouiller seul.
- Aaaaah Heero !
Quatre qui passait par là, encore une fois, ce dit qu’il ne devrait plus aller se coucher après eux, parce qu’a chaque fois qu’il passait devant leur porte de chambre, Duo se mettait à crier de plaisir, il ne pouvait pas s’en empêcher ou quoi, et même si le garçon à la natte lui apportait toute l’amitié possible, Quatre commençait à sérieusement à avoir dans l’idée qu’aller voir ses sœur serait peu être un bon moyen de décompresser un bon cou, parce que là avec les deux professionnel du sport de chambre… Il se souvenait encore de la discussion qu’ils avaient eu tout les deux dans l’après midi, Quatre avait enfin posé la question qui le perturbait depuis un bon moment.
Duo l’avait regardé surpris d’abord puis lui avait fait un immense sourire, pas celui à la Shinigami, mais plutôt un sourire satisfait voir heureux, il fallait savoir le prendre comme ça en tout cas. « Je ne vais pas te mentir Quatre, oui ! Mais si tu es bien préparé par l’autre c’est plutôt supportable en plus, tu oublie assez vite la douleur. On peu dire aussi qu’on a vécu pire pendant certaine mission, tu ne devrais pas te tracasser avec ça, quand tu le fera ça sera avec une personne qui t’aime et que tu aimes, c’est cent fois meilleur, je te le garantie… » Ça n’avait pas rassuré son ami pour un sou, mais c’était mieux que rien, et de toute façon qui pourrait lui faire éprouver ce genre de sentiments, il aurait voulu montrer au monde entier qu’il était capable lui aussi de ressentir ce que ressentait l’américain.
- Tu voulais me parler Heero ?
- Puisque tu commence, et bien oui, en fait j’ai un certain problème avec un garçon à natte, et si je ne fais rien, je risque de dormir seul pendant longtemps, voir très longtemps.
- Ah !
- Bon, c’est déjà une bonne chose que ça ne te surprenne pas, mais je m’en était douté. En fait je voudrais te parler de toi !
- Explique, tu commence à m’intéresser…
- Eh bien voilà, je ne suis pas si aveugle et sans sentiment qu’on le crois et je me demandais si…
Ils revinrent le soir à la maison, après une longue discussion et se mirent directement à table, ils n’avaient pas que ça à faire tout les deux, et les cinq G-Boys aillèrent très tôt au lit, enfin surtout le couple, Heero ayant eu quelques idées pour se venger de la demande de son amant, ainsi la porte à peine refermé sur leur deux personnes, il attrapa Duo par le natte et le jeta presque sur le lit, le spectacle pouvait commencer, vengeance, vengeance, quand tu nous tien… Non, pas la peine d’avoir de spectateur, merci pour vos encouragement mais au revoir, on peu se débrouiller seul.
- Aaaaah Heero !
Quatre qui passait par là, encore une fois, ce dit qu’il ne devrait plus aller se coucher après eux, parce qu’a chaque fois qu’il passait devant leur porte de chambre, Duo se mettait à crier de plaisir, il ne pouvait pas s’en empêcher ou quoi, et même si le garçon à la natte lui apportait toute l’amitié possible, Quatre commençait à sérieusement à avoir dans l’idée qu’aller voir ses sœur serait peu être un bon moyen de décompresser un bon cou, parce que là avec les deux professionnel du sport de chambre… Il se souvenait encore de la discussion qu’ils avaient eu tout les deux dans l’après midi, Quatre avait enfin posé la question qui le perturbait depuis un bon moment.
Duo l’avait regardé surpris d’abord puis lui avait fait un immense sourire, pas celui à la Shinigami, mais plutôt un sourire satisfait voir heureux, il fallait savoir le prendre comme ça en tout cas. « Je ne vais pas te mentir Quatre, oui ! Mais si tu es bien préparé par l’autre c’est plutôt supportable en plus, tu oublie assez vite la douleur. On peu dire aussi qu’on a vécu pire pendant certaine mission, tu ne devrais pas te tracasser avec ça, quand tu le fera ça sera avec une personne qui t’aime et que tu aimes, c’est cent fois meilleur, je te le garantie… » Ça n’avait pas rassuré son ami pour un sou, mais c’était mieux que rien, et de toute façon qui pourrait lui faire éprouver ce genre de sentiments, il aurait voulu montrer au monde entier qu’il était capable lui aussi de ressentir ce que ressentait l’américain.
Le
lendemain matin le petit déjeuner se montra des plus bizarre, Duo
voletait dans la pièce et quand Heero entra à son tour, il le prit par
le bras, embrassa de la main son ami dans la cuisine et parti à la
vitesse de l’éclair. Wufei parti aussi assez vite, il ne savait pas ce
qui se passait avec lui en ce moment, mais il était souvent absent de
la maison, ça ne surprenait pas Quatre pour Duo, il avait toujours joué
la fille de l’air, mais Wufei qui rentre tard la nuit et qui part tôt
le matin, ça… Il s’assit alors devant son bol de chocolat et ne réalisa
quand il aperçu une mèche châtain qu’il n’était pas seul comme il le
pensait, Trowa était encore dans la maison, mais il allait sûrement
partir lui aussi, après tout cette journée ne ferait pas exception, non
? Mais à son grand étonnement, le français s’assit à cote de lui et bu
sa tasse de café en silence, pour demander ensuite d’une voix discrète
ce que le petit arabe voulait faire pendant cette journée.
Quatre sursauta de surprise en fait il n’avait rien prévu, mais l’idée y était, et il se ferait bien un cinéma ou quelque chose du même genre, mais quand le garçon en face de lui, lui proposa de l’emmener au restaurant, Quatre ne pu s’empêcher de rougir, et puis pourquoi pas après tout, comme dirait Duo, Let’s go… Après s’être habillé un peu plus chaudement il suivit Trowa dans les rues de la ville et ils se retrouvèrent bientôt dans un petit restaurant Italien, ou il restèrent un long moment. Le petit blond allant de surprise en surprise quand son aîné habituellement si silencieux se mit à faire la conversation, ce jour était à marquer d’une pierre blanche, et note pour plus tard essayer de ne pas fondre comme la neige au soleil en voyant ce sourire si… Sexy, le mot était lancé.
L’après midi se passa admirablement bien et quand Quatre faillit tomber, Trowa le rattrapa par le bras, laissant ensuite sa main prendre celle de son cadet, et ne plus la lâcher. Le petit blond souri de plus belle, surtout quand arrivé à la maison, il constata que cette dernière était vide, où était les autres ? Et puis quelle importance, ils mirent un film dans le magnétoscope et après avoir mangé sur la table du salon, le petit arabe s’assoupi doucement sur l’épaule de son ami. Pour ce réveillé brusquement quand il senti une main dans ses cheveux qui le caressait lentement, surtout ne pas bouger, ne pas briser la magie de l’instant, ni celle du geste par ailleurs. Doucement il se rendormi, aux anges, la journée la plus merveilleuse de sa vie, il l’avait dit, à marqué sur le calendrier, on était quel jour déjà ?
Il se réveilla complètement quand il senti le canapé sous son corps et non plus la chaleur rassurante de son aîné, et quand une bouche se posa délicatement sur la sienne. Il laissa sa bouche s’entrouvrir lentement, laissant passer la langue de son amant, oui, amant il pouvait le dire, et il pouvait aussi dire merci à Duo, il sentait bien qu’il y était pour beaucoup et… Quand deux bras se mirent à la porter, il oublia toute pensées cohérente, et se laissa emporter vers leur chambre, pour être de nouveau posé sur un lit. Il regarda son futur amant dans les yeux, soulevant la mèche pour voir ses deux yeux, puis il se souleva et l’embrassa, encore, oui encore, il voulait plus. Le brun enleva le pull du garçon qui l’embrassait encore, puis le T-shirt suivit et enfin il s’allongea à cote du petit blond, il était si mignon et si pur aussi, Trowa prit peur, il ne voulait pas lui faire de mal.
Quatre voyant la lueur d’incertitude dans ses yeux se mit en devoir de lui demander plus, il ôta lui même le pull qui gênait ses mains, puis le débardeur et s’attaqua aux boutons du pantalon, quand Trowa reprit les opérations, il rallongea le petit blond sur le dos, descendant lentement au dessus de lui, frôlant au passage l’érection de son ami déjà conséquente, lui prouvant bien son envie et enleva pantalon et sous vêtements, passant ses lèvres sur le sexe dressé de son amant, le prenant délicatement dans sa bouche pour entamer un mouvement de va et viens, lent et insoutenable pour le jeune garçon. Il léchait la hampe dressé, mordillant doucement les testicules, pour ensuite passé un doigt dans la grotte inviolé du jeune arabe, le faisait sursauter de douleur, mais se laissant faire tout de même, un deuxième puis un troisième rejoignirent le premier et au bout d’un moment Quatre se laissa porté par le plaisir, gémissant avec force, de plus en plus décontracté. Trowa su que c’était le moment, mais c’était la première fois pour le jeune homme, il voulait être sur de ce qu’il voulait.
Il bascula alors sur le dos, prenant son compagnon dans son élan et se dernier se retrouva assis sur son ventre près, très près du désir de son amant, et voyant le désir dans ses yeux, il se leva doucement et descendit de lui même sur l’objet de son désir, le faisant entrer aussi profondément que possible, gémissant d’inconfort plus que de douleur, le français l’avait très bien préparé. Quatre commença alors à gémir de plus en plus fort quand son amant le fit prendre un mouvement de haut en bas, ses grandes mains serrées autour de sa taille. Le petit blond cria cette fois quand la main de Trowa se mit à calquer le même mouvement sur son érection douloureuse, et il se libera dans un dernier cri, s’effondrant dans ses bras. Le brun en profita pour le faire basculer sur le dos, donnant à son bassin un mouvement de plus en plus rapide, le faisant de nouveau gémir d’extase, puis se libérer une deuxième fois en même temps que lui.
Partant de son amant, il le serra contre lui, aspirant les larme de bonheur des joues de son amant, enfin, il l’avait tant espéré, et il lui avait fallu un chocolat et une discussion avec Heero pour le comprendre, quel imbécile il faisait. Quatre au creux de ses bras levait son visage vers lui et lui souri doucement heureux au plus profond de lui, comblé même. Pas besoin d’aller voir ses sœurs pensa-t-il surtout quand Trowa le tenait ainsi dans ses bras. Encore merci Duo, tu es un amour de meilleur ami… Il déposa un petit baiser sur les lèvres de son compagnon et se serra dans ses bras, ne plus le quitter jamais.
- J’ai un cadeau pour toi ! T’es chocolat étaient très bon…
- Mais je les avait jetés à la poubelle !
- Je t’ai vu se jour là, je suis allé les récupérer, ils étaient délicieux, comme toi. Comme je ne suis pas très bon pour la cuisine, j’ai pensé que ça… Il lui tendit un rose, sorti dont ne sais où.
- Je te savais clown, pas magicien !
- On en apprends des choses au cirque… Souris son amant heureux de voir ce sourire émerveillé de son amant.
Se lassant bercé par le bruit de son cœur, qui raisonnait dans sa poitrine, il entendit Trowa murmurer les dernier mot, doucement, murmuré à son oreille.
- Joyeuse journée Blanche Quatre.
Quatre sursauta de surprise en fait il n’avait rien prévu, mais l’idée y était, et il se ferait bien un cinéma ou quelque chose du même genre, mais quand le garçon en face de lui, lui proposa de l’emmener au restaurant, Quatre ne pu s’empêcher de rougir, et puis pourquoi pas après tout, comme dirait Duo, Let’s go… Après s’être habillé un peu plus chaudement il suivit Trowa dans les rues de la ville et ils se retrouvèrent bientôt dans un petit restaurant Italien, ou il restèrent un long moment. Le petit blond allant de surprise en surprise quand son aîné habituellement si silencieux se mit à faire la conversation, ce jour était à marquer d’une pierre blanche, et note pour plus tard essayer de ne pas fondre comme la neige au soleil en voyant ce sourire si… Sexy, le mot était lancé.
L’après midi se passa admirablement bien et quand Quatre faillit tomber, Trowa le rattrapa par le bras, laissant ensuite sa main prendre celle de son cadet, et ne plus la lâcher. Le petit blond souri de plus belle, surtout quand arrivé à la maison, il constata que cette dernière était vide, où était les autres ? Et puis quelle importance, ils mirent un film dans le magnétoscope et après avoir mangé sur la table du salon, le petit arabe s’assoupi doucement sur l’épaule de son ami. Pour ce réveillé brusquement quand il senti une main dans ses cheveux qui le caressait lentement, surtout ne pas bouger, ne pas briser la magie de l’instant, ni celle du geste par ailleurs. Doucement il se rendormi, aux anges, la journée la plus merveilleuse de sa vie, il l’avait dit, à marqué sur le calendrier, on était quel jour déjà ?
Il se réveilla complètement quand il senti le canapé sous son corps et non plus la chaleur rassurante de son aîné, et quand une bouche se posa délicatement sur la sienne. Il laissa sa bouche s’entrouvrir lentement, laissant passer la langue de son amant, oui, amant il pouvait le dire, et il pouvait aussi dire merci à Duo, il sentait bien qu’il y était pour beaucoup et… Quand deux bras se mirent à la porter, il oublia toute pensées cohérente, et se laissa emporter vers leur chambre, pour être de nouveau posé sur un lit. Il regarda son futur amant dans les yeux, soulevant la mèche pour voir ses deux yeux, puis il se souleva et l’embrassa, encore, oui encore, il voulait plus. Le brun enleva le pull du garçon qui l’embrassait encore, puis le T-shirt suivit et enfin il s’allongea à cote du petit blond, il était si mignon et si pur aussi, Trowa prit peur, il ne voulait pas lui faire de mal.
Quatre voyant la lueur d’incertitude dans ses yeux se mit en devoir de lui demander plus, il ôta lui même le pull qui gênait ses mains, puis le débardeur et s’attaqua aux boutons du pantalon, quand Trowa reprit les opérations, il rallongea le petit blond sur le dos, descendant lentement au dessus de lui, frôlant au passage l’érection de son ami déjà conséquente, lui prouvant bien son envie et enleva pantalon et sous vêtements, passant ses lèvres sur le sexe dressé de son amant, le prenant délicatement dans sa bouche pour entamer un mouvement de va et viens, lent et insoutenable pour le jeune garçon. Il léchait la hampe dressé, mordillant doucement les testicules, pour ensuite passé un doigt dans la grotte inviolé du jeune arabe, le faisait sursauter de douleur, mais se laissant faire tout de même, un deuxième puis un troisième rejoignirent le premier et au bout d’un moment Quatre se laissa porté par le plaisir, gémissant avec force, de plus en plus décontracté. Trowa su que c’était le moment, mais c’était la première fois pour le jeune homme, il voulait être sur de ce qu’il voulait.
Il bascula alors sur le dos, prenant son compagnon dans son élan et se dernier se retrouva assis sur son ventre près, très près du désir de son amant, et voyant le désir dans ses yeux, il se leva doucement et descendit de lui même sur l’objet de son désir, le faisant entrer aussi profondément que possible, gémissant d’inconfort plus que de douleur, le français l’avait très bien préparé. Quatre commença alors à gémir de plus en plus fort quand son amant le fit prendre un mouvement de haut en bas, ses grandes mains serrées autour de sa taille. Le petit blond cria cette fois quand la main de Trowa se mit à calquer le même mouvement sur son érection douloureuse, et il se libera dans un dernier cri, s’effondrant dans ses bras. Le brun en profita pour le faire basculer sur le dos, donnant à son bassin un mouvement de plus en plus rapide, le faisant de nouveau gémir d’extase, puis se libérer une deuxième fois en même temps que lui.
Partant de son amant, il le serra contre lui, aspirant les larme de bonheur des joues de son amant, enfin, il l’avait tant espéré, et il lui avait fallu un chocolat et une discussion avec Heero pour le comprendre, quel imbécile il faisait. Quatre au creux de ses bras levait son visage vers lui et lui souri doucement heureux au plus profond de lui, comblé même. Pas besoin d’aller voir ses sœurs pensa-t-il surtout quand Trowa le tenait ainsi dans ses bras. Encore merci Duo, tu es un amour de meilleur ami… Il déposa un petit baiser sur les lèvres de son compagnon et se serra dans ses bras, ne plus le quitter jamais.
- J’ai un cadeau pour toi ! T’es chocolat étaient très bon…
- Mais je les avait jetés à la poubelle !
- Je t’ai vu se jour là, je suis allé les récupérer, ils étaient délicieux, comme toi. Comme je ne suis pas très bon pour la cuisine, j’ai pensé que ça… Il lui tendit un rose, sorti dont ne sais où.
- Je te savais clown, pas magicien !
- On en apprends des choses au cirque… Souris son amant heureux de voir ce sourire émerveillé de son amant.
Se lassant bercé par le bruit de son cœur, qui raisonnait dans sa poitrine, il entendit Trowa murmurer les dernier mot, doucement, murmuré à son oreille.
- Joyeuse journée Blanche Quatre.
Le
lendemain, Quatre toujours au fourneau devant les yeux ravi de son
amant, entendit le rire de son meilleur ami, et souri à son tour, quand
le couple entra dans la pièce, ce fut Quatre qui sauta au cou de Duo
pour lui embrasser la joue sous la phrase dites en même temps de leur
amant respectif « Faudrait arrêter cette manie que vous avez depuis un
certain temps, on va commencé à avoir des doutes, nous ! ». C’est sur
cette phrase pleine de bon sens que Wufei entra dans la cuisine avec
son habituel salut d’endormi, qui ne comprenait toujours pas, pourquoi
dans cette cuisine tout le monde était toujours aussi joyeux depuis un
mois. Même lui commençait à se sentir euphorique, tout mes pas ça s’il
vous plais…
A suivre…
Argh,
je sais pas si c’était mieux, mais dans le genre journée pleine de bon
sentiment on peut pas mieux faire, petit problème en plus avec le
prochain chapitre, j’avais une idée pour Wufei, et une idée en chassant
un autre, je sais plus quoi faire de lui, mais il arrive, pas
d’inquiétude. Je vais pas le laisser tout seul quand même ce petit.
[Chapitre 1] - [Chapitre 3]
[Chapitre 1] - [Chapitre 3]