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Titre : Jour de fête 3
Auteur : karya
Mail : karya_jap@msn.com
Pairing : Wufei et vous verrez bien...
Rating : Pour le troisième et dernier chapitre, je vais faire un nouveau lemon… Hum ! Par pitié pas de représailles, je ne suis pas responsable de mes actes, enfin presque...
Commentaire : SNIFF c’est le dernier j’espère que tout le monde à aimer, sinon c’est pas grave fallait pas lire c'est tout lol



Jours de fête
3ème jour


- Tiens Wufei, tu es rentrée ?
- Désolé Quatre, j’ai raté l’heure de dîner…
- C’est rien je t’ai laisser un plat dans le four au cas où tu aurais faim.
- Les autres sont couchés ?
- Duo et Heero sont en balade, et Trowa regarde la télé.
- Il regarde la télé ? Demanda le chinois surpris.
Décidément il n’y avait pas que lui qui avait changé dans cette maison, les autres aussi, et il était sur que ce n’était pas la télé qu’il regardait, mais plutôt qu’il attendait le petit arabe pour aller se coucher. Des deux couples c’était celui qui était le plus discret, mais faut dire qu’avec Duo aussi… Comment Yuy avait pu se mettre avec cet énergumène quand même, ça relevait du mystère, mais de son côté, il avait aussi mit le temps. Depuis la saint Valentin, tout avait changé, en un sens c’était grâce à ses amis, puisqu’ils semblaient trop préoccupé par leur propre journée, il était parti voir Sally, juste pour discuter comme ça, il ne s’était pas rendu compte de quel journée on était.
Il était arrivé dans l’hôpital où Sally travaillait bénévolement quand des missions ne venaient pas l’en empêcher et il était resté surpris au pas de la porte. Tous ses enfants qui l’entouraient le surprenaient surtout, mais moins que l’air angélique que la jeune femme avait en les prenant dans ses bras. Elle était resplendissante ici, pas du tout sur la défensive comme quand les professeurs lui donnaient un ordre, et finalement il se racla la gorge doucement pour se faire connaître, et un petit garçon de cinq ans vint le prendre dans sa main. Il le tira doucement vers le centre de la pièce et le regarda un long moment avant de tirer sur son maillot pour qu’il descende vers lui. Wufei avait fait la première chose qui lui passait par la tête et le prit dans ses bras, le petit garçon se blotti contre lui et le regarda avec adoration.
- Et bien, tu fais sensation sur les enfants !
- Jamais auparavant…
- Il s’appelle Paul, depuis que ces parents sont mort, il a arrêté de parler, ça va faire trois mois. Mais et toi Wufei, qu’est ce que tu fais là ?
- J’étais venu te voir, les garçons font des trucs bizarre en ce moment, ils se tournent autour.
- Ah ça y est ! Ils s’y sont mis, je devrais appeler Hirde pour lui raconter ça, ça fait tellement longtemps, elle a pariée sur le couple Duo-Heero et moi sur Quatre-Trowa.
- Je pencherais sur le couple Quatre-Trowa parce que les deux autre, bonjours les crises de colères.
- Ca ne veux rien dire, mais ça ne te dérange pas… Je veux dire, deux garçons ensemble ?
- Non, après tous, chacun ses liberté, et puis on a vécu tellement de chose, ils ont bien le droit de vivre un peu comme ils le veulent.
- Et bien dis donc ! Je ne pensais pas que tu verrais les choses de cette façon. Tu me surprendras toujours. Bon, puisque tu es là, tu vas rester avec moi et avec les enfants.
La journée s’était plutôt bien passé, on peut même dire qu’elle a été la plus riche et émotion de toute cette maudite guerre, lui-même n’avait jamais constaté à quel point les enfants pouvaient souffrir de ses combats, lui qui n’était qu’un adolescent de quinze ans la voyait comme des combats à n’en plus finir, mais sans plus, c’était sans doute du à son éducation de soldat, était-il devenu un être sans cœur, il s’en rendait compte à présent, il avait assez stupide pour croire, que cette guerre ferais un bien à tout un pays, à des colonie, mais il n’avait jamais véritablement pensée à tout les civiles de la guerre. Il se sentait ridicule face à Sally qui l’avait tant aider dans des moment difficiles, ils ne voyaient pas les choses de la même façon, mais un jour il fallait vraiment qu’il la remercie pour tout ce qu’elle lui avait apporté.
Le soir était arrivé assez vite, et il avait fallu rentrer à la maison, il aurait bien voulu rester avec Sally, mais il n’avait pas prévenu Quatre, et il ne voulait pas que le petit arabe s’inquiète pour rien, alors c’est sur le pas de la porte qu’il lui dit au revoir, en fait, ils restèrent plus que la normal sur le pas de la porte, Wufei ne voulait pas partir, et les enfants dormaient, dont le petit Paul dans les bras de la jeune femme. Elle était vraiment ravissante dans la lumière du crépuscule, et sans le vouloir vraiment, il s’avance vers elle et la regarda un long moment, jusqu'à ce qu’ils soient vraiment très proche l’un de l’autre. Finalement ce fut Sally qui se baissa encore plus et l’embrassa sur la joue, elle ne voulait pas le tourmenter plus, surtout qu’elle s’était douter qu’il ne s’était pas rendu compte de la journée, le 14, le connaissant, il ne devrait même pas ce douter que cette fête existe, alors finalement…
- Bonne saint Valentin Wufei.
- Au revoir Sally…
Il s’était ensuite retourné et était partie pour la maison où il habitait avec les autre quand ils n’y avaient pas de mission, et après avoir ouvert la porte s’était bouché les oreilles, Sally n’allait pas être contente, parce que ce cri ce n’était certainement pas la voix de Quatre, ni de Trowa par la même occasion, mais bien celle de Duo, et on pouvait dire qu’il avait du coffre, pour des cris de ce genre, il monta dans sa chambre, en voyant la porte d’a coté se refermé sur le français, il ne devait pas être rentré depuis longtemps à voir ses habits, on pourrait même dire qu’ils devaient avoir tout les deux quelques secondes d’écart et… Par Nataku, ils ne finissaient jamais, c’était quand même la deuxième fois cette nuit, sauf qu’on était le matin à présent, autant se lever pour aller petit déjeuner tel qu’ils étaient partis.
En y repensant maintenant, il pourrait presque en sourire, presque si depuis près de deux ans et demi il n’avait pas eu affaire au cri de Duo en pleine nuit, voir même en pleine journée, ça n’en finissait jamais, ces vrai que cette soirée mémorable l’avait changé, en deux ans, il avait mûri, il était aussi allez voir Sally et les enfants, bien souvent et avait passé ses journées sans mission à parler à la jeune femme de tout et de rien, jusqu'à ce qu’ils se mettent enfin ensemble. C’est Duo qui aurait été content de l’apprendre, mais il n’en serait rien, comme personne, du moins pour l’instant, et puis ce n’était pas leur histoire, pas de sa faute s’il avait mit un an pour lui avouer ses sentiments quand même, ou peut être que si en fin de compte, mais faut pas lui en vouloir, c’est un timide aussi.
Et demain, c’était leur premier anniversaire, cela faisait un an, à présent qu’il lui avait dit qu’il l’aimait, pendant une journée « Blanche » comme dirait Duo, le retour d’un cadeau, bon, il avait mis un mois pour répondre aux sentiments de la jeune femme, mais elle avait patienté, elle savait qu’il lui avait fallu du temps pour oublier certaine choses et demain jour de fêtes, il ne savait pas ce qu’elle voulait lui offrir, mais lui avait sa petite idée, quelque chose qu’elle souhaitait depuis plus de deux ans, enfin il pourrait le lui donner, c’était un secret bien gardé, mais quand même, heureusement qu’il pouvait le lui offrir. Il espérait aussi qu’elle en serait heureuse, et il se doutait que oui, forcement…

Le lendemain au petit déjeuné, il stoppa devant la porte en entendant les soupir enamouré de Duo
complètement soudé à Heero, qui n’avait pas l’air de vouloir le lâcher non plus, et il ressenti une petite pointe de jalousie, ils avaient conclu depuis longtemps ces deux, la, et lui commençait à ce demander si Sally l’aimait au point de vouloir… Bref, en restant dans cette maison, il commençais sérieusement à avoir des envies lui aussi, bon beaucoup moins prononcé que ce couple de dépravé, mais un besoin de tendresse peut être. Voilà qu’il devenait sentimental, un problème dans ses hormones peut être ? Finalement il entra dans la cuisine pour les trouver tout les deux assit loin l’un de l’autre, c’était un bon point pour eux quand même, ils étaient assez gentil pour ne pas trop s’étaler devant le seul célibataire de l’assistance, du moins, le seul garçon du groupe à ne pas jouir de privilège sexuel plutôt. C’était plutôt amical de leur part à tout les quatre d’ailleurs.
Il parti de bon heure en même moment où Quatre et Trowa rentraient, d’après ce qu’il avait compris, ils devaient faire une sortie à quatre ce jour là. Lui-même se dirigea dans les même ruelle que d’habitude et se rendit à l’hôpital, il aperçu Sally qui faisait de grand sourire à un enfant, et se baissa pour lui embrasser la nuque, elle sentait bon… Elle se retourna et l’embrasa doucement sur la bouche, elle lui avait manqué en une nuit, il était vraiment attaché, comment un homme pouvait changer de cette façon, c’était impressionnant, il était devenu sociable, du moins un peu plus, il fallait pas pousser, et s’amuser avec des enfants, choses qu’il n’aurait fait, il y a deux ans.
La journée se passa plus vite qu’il ne l’aurait cru et avant que les enfants aillent dormir, il fit rassembla tout le monde dans la grande salle de garde, et tout s’assirent. Paul entra le dernier et se positionna à ses coté, fière de ses sept ans à présent, et tenant la main de Wufei s’inclina doucement vers Sally, ce qu’il faisait d’habitude pour lui dire bonne nuit, avant d’ouvrir la bouche sur un très doux « Bonne nuit Sally ». Cette dernière regarda les deux personnes devant elle, avant de venir s’agenouiller devant l’enfant, le prenant dans ses bras, pleurant à chaudes larmes. Wufei pensa qu’il avait bien fait, et qu’il avait bien choisi son cadeau, il prit les deux personne contre lui, et les berça doucement, soufflant des phrases tendre en chinois que seule Sally comprenait.

La porte claqua violemment, et une tornade blanche se dépêcha de rentrer à l’étage, dans sa chambre, et les quatre personnes présentes dans le salon se regardèrent étonnées. Wufei n’avait-il pas dit qu’il ne rentrait pas cette nuit ? Pourtant si, du moins il ne l’avait pas dit, mais il l’avait sous-entendu, et là il revenait après le repas, pour s’enfermer dans sa chambre en plus. Le premier qui bougea fut Quatre, qui se précipita dans la cuisine vite suivit par Duo, et enfin des deux autres garçons, qui surprirent la conversation à peine entamé.
- … je suis sure.
- Mais non, je sais très bien ce qu’il a !
- Quoi ?
- Je crois bien que Sally et lui n’ont jamais fait quoique ce soit, à part quelque baiser je veux dire.
- Je ne comprends pas Duo.
- Et moi qui ne voulait pas être vulgaire, bref, l’abstinence n’est pas le meilleur des remède dans un couple mon petit Quatre. Et la dernière fois que j’ai parler avec Sally, elle m’a dit qu’elle voulait attendre la majorité de notre chinois national pour faire quoi que ce soit.
- Il n’a plus que quelque mois alors… Grinça Heero.
- Mamour, qu’est ce que tu dirais si un jour, comme ça, je te disais de rester sur le canapé pendant quelque mois ?
- OK.
- Si tu dit vrai c’est embêtant Duo, le pauvre…
- Oui, à moins que… Heero ?
- Non, Duo ! Pas question !

Lorsqu’il passa à coté de la porte pour se rendre dans la cuisine, il ne vit personne, ce n’était pourtant pas dans les habitude d’Heero de laisser la porte ouverte, enfin bon, il n’allait pas non plus lui en vouloir pour ça. Il descendit dans la salon allumant la télévision, pour la refermer presque immédiatement, il n’avait décidément pas le cœur de regarder la télévision cette nuit, surtout qu’a cette heure là, ce n’était peut êtres pas les meilleur films qui passait, et ça le mettait un peu mal à l’aise. Autant essayer d’aller se recoucher… Mais quand il repassa devant la chambre de ses amis, ce ne fut que pour voir ce qu’il avait à tout pris évité de regarder à la télé, ils pourraient faire ça en privé quand même ces deux là. Pourtant cette fois ci, il resta au pas de la porte pour les regardait, ces pieds étaient comme incrusté au sol, et quand des yeux mauve le regardèrent avec cette lueur de plaisir dans les yeux, il ne pu s’empêcher d’avancer dans la pièce. Il ne le voulait pas, il le savait, mais ses pieds avançaient seules, comme aimanté vers ses deux corps enlacé.
Duo se leva alors du lit et s’approcha de lui, doucement ne voulant pas lui faire peur, il prit délicatement la main de son ami et le fit avancer vers le lit, l’allongeant tranquillement, avant de s’agenouillant au-dessus de lui, ses jambes de part et d’autre de son torse, le déshabillant doucement. Les boutons de la chemise volèrent en éclats soudain, Duo n’avait pas de patience avec les vêtements, Heero souri sur son siège, après tout c’était une idée de Duo, alors il le laissait faire, mais il y avait une limite, Duo en avait conscience, après tout il lui appartenait corps et âme, mais temps qu’il s’amusait, et puis il devait bien reconnaître que le voir faire l’amour à leur ami lui faisait de l’effet à lui aussi…
Wufei enfin débarrassé de tout ses habits, se tordait sous les baiser de l’américain, il descendit son torse, mordillant les deux bouton de chaire durci par le désir mais ne touchait pas encore son entre jambe. Il descendit très doucement sur le torse plat et virile du garçon, puis parcourra ses moindres détail, tout les endroits sensibles qu’il connaissait par cœur, avant de faire glisser sa main vers l’intérieur des cuisses de son ami sous ses gémissement de frustration. Alors comme ça il appréciait… Duo souri de plaisir, il aimait rendre service à ses ami et si en plus son compagnon y prenait plaisir… Il commença alors à passer sa langue sur le sexe de Wufei, regardant l’homme qu’il aimait dans le même mouvement, recouvrant de salive la petite fente à son bout et le laissant ainsi, seul avec sa frustration.
Heero se décida alors à revenir enfin sur le lit, il n’en pouvait plus, il voulait Duo pour lui, encore… Avec la même force que leur premier fois à tout les deux. Wufei voyant la lueur de désir se poussa un peu pour laisser les deux amants à leur jeu habituelle, mais resta sur le lit assit à quelque centimètres d’eux. Il ferma brièvement les yeux quand Duo poussa un cri de plaisir à prendre son amant en lui, et les rouvrit pur voir Heero au-dessus de l’américain, dans un mouvement de va et vient impressionnant, ils n’avaient jamais assisté à ça avant, même les films les plus réaliste ne lui donnait pas cet effet. Enfin Duo ressorti un peu de son propre plaisir et jetant un coup d’œil à son amant habituel, souri, avant de s’allonger vers le chinois pour le prendre brusquement dans sa bouche, entièrement. Ce dernier ferma les yeux de plaisir cette fois et posa ses mains dans les cheveux du garçon à la natte, provoquant de fort mouvements sur sa hampe dressé, et dur de désir.
Il s’en voulait, il ne voulait pas faire de mal à son ami alors que celui ci lui donnait tant de plaisir, mais que pouvait-il y faire, il ne savait même plus ce qu’il faisait en ce moment, juste cette bouche sur son désir trop longtemps contenu, alors que le corps de ce dernier étaient arqué, dans le plaisir de son amant au-dessus de lui. Enfin Wufei se libéra dans un râle, provoquant de la même façon un effet de chaîne, Duo jouit à son tour, serré entre le corps de son amant habituel et le sien, se resserrant autour de Heero qui se déversa en lui, dans un cri de pur plaisir, ça n’avait jamais était aussi fort, il fallait dire aussi qu’ils n’avaient jamais attendu aussi longtemps avant de se donner l’un à l’autre. Il se laissa aller sur le corps de son amant et s’endormit aussitôt.
Duo s’essuya la bouche et regarda un Wufei aux anges, il avait bien fait de faire ça, il le savait, et il savait aussi, à entendre les cri refoulé derrière le mur de la chambre, qu’il ne valait mieux pas se retrouver dans le couloir au même moment, Quatre était discret, mais Trowa avait du mal à se retenir. Il souri doucement en entendant les deux hommes entrer dans la chambre, et se poser sur le lit à coté d’eux, le français serrant son amant très fort dans ses bras. Il voulu se lever, mais le corps lourd de Heero le retint, et de toute façon il avait mis tellement de temps à se décider à se laisser aller contre lui, qu’il n’allait pas s’en plaindre, il aimait sentir son homme contre lui. Il tourna la tête vers Wufei qui commençait à reprendre surface et lui adressa un sourire.
- J’espère qu’avec ça tu tiendra les quelques mois qui te reste.
- Tu sais pour Sally ?
- Elle me l’a dit, ça va faire un an, elle m’a aussi dit qu’elle voulait attendre, mais ce soir avec ton air, je me suis dit que peut être…
- Merci Duo. Je vais vous laisser à présent, le lit est grand, mais à quatre c’est largement suffisant.
Il quitta la chambre sans prendre la peine de reprendre ses vêtements et s’allongeant sur son lit il se dit que décidément ils avaient des amis irremplaçables, même cette petite bête folle de Duo, surtout cette petite pestes d’ailleurs. Il s’endormit sur un sourire. Et le lendemain, à sa plus grande surprise, il ne fut pas le premier réveillé, mais bel et bien le cinquième et un invite surprise était dans les parages. Il prit son bol de café fumant et rejoignit les autres dans le salon d’où Duo l’avait appeler à force de grands cris. Il ouvrit alors de grands yeux quand il aperçu Sally dans le salon, avec ses amis, qui parlaient de tout et de rien, et Paul sur les genoux de Duo qui rigolait à une parole du petit arabe assit à ses coté.
Il ne manquait plus que cette satanée guerre prenne fin, et ils pourraient enfin vivre pleinement heureux, et pour le plaisir de tous, même de Heero, cela faisait plus de six mois qu’ils ne s’étaient pas servi de leur Gundam, cela ne pouvait signifier qu’une chose, le bonbon rose avait enfin fait comprendre au monde ce que voulait dire le mot « paix ». Il s’assit sur un siège, prenant Sally sur ses genoux, et après un dernier sourire à Duo, se mit à la serrer dans ses bras, il attendait ces quelques mois avec impatience à présent.

FIN


Non pas la massue… Encore désolé pour tout âme sensible qui est pu tomber sur cette fic, mais tout le monde était prévenu, je ne suis ni consciente, ni responsable de mes actes, mes doigts tapent trop vite sur le clavier pour que j’arrive à suivre la cadence dans ma tête. Bon d’accord j’arrête de raconter n’importe quoi, et puis j’aime bien Sally…

[Chapitre 2]